L’auteur d’un meurtre prend quelque chose et laisse quelque chose de lui-même sur la scène d’un crime.
Les femmes aimaient malgré elles. Malgré tout. Il fallait qu’un Dieu l’ait voulu ainsi. Et leur amour embrassait l’humanité toute entière.
Le fichier ADN était le dernier endroit à garder la mémoire de votre humanité.
Un tueur s'exprimait à travers ses meurtres, comme un artiste à travers ses œuvres, et le connaitre c'était, pour un enquêteur, devait faire sa psychanalyse par sa perception des crimes, comme un critique devait ressentir une oeuvre d'art, faire vibrer son inconscient avec celui du tueur et tenter d'en tracer les contours afin de mesurer tout ce qu'il révélait, à son corps défendant.
Chacun sa merde. Et Dieu pour tous.
au crime originel qui n'avait pas eux lieux...
il se croyait persécuté par l' ombre
l'ombre était en lui.
grace a elle, elle survivrait dans les mémoires et son
histoire lui donnerait un destin.
Mais souvient toi tout se paie, d'une fason ou d' une autre
tout finit toujour par se payer, siut parce que l'on accepte
le prix et qu' on le paie volontairement.
Les événements n’arrivaient jamais par hasard. Même ceux en apparence sans rien de commun étaient toujours associés par un lien ténu, indicible, qui se déployait au cœur secret des choses.
Vous sortirez toujours plus fort d’une autocritique que d’une autobiographie complaisante.