Certains soirs, il m’arrive de m’énerver sans raisons particulière, et quand l’aube arrive, n’en pouvant plus, je cours jusqu'à la nationale, vers cette route qui à travers champs et montagnes, file en direction de la ville tumultueuse, laissant derrière elle ce village cerné par la mort !!
Pour le vieil homme, chaque colline est une montagne.