Frizzy

Dans la famille de Marlène, alias Frizzy, avoir les cheveux bouclés c'est avoir les “mauvais cheveux”. Tous les dimanches, sa mère la traîne donc dans un salon de coiffure où elle passe plusieurs heures pour en ressortir avec les “bons cheveux”, autrement dit, les cheveux lisses. Mais cette situation agace Frizzy. Elle ne comprend pas l'entêtement de sa mère et elle aimerait surtout qu'on la laisse tranquille elle et ses cheveux. Alors, c'est décidé, elle va tenter de se rebeller !

Roman graphique lumineux et coloré, Frizzy raconte comment une jeune fille va essayer d'échapper aux dictats de son entourage et de ses camarades sur la manière dont devraient être ses cheveux et dont elle devrait aussi se comporter en société. Frizzy oppose deux discours : d'un côté celui d'une mère très conformiste et qui suit les règles qu'on lui a toujours inculquée ( quitte à renier ses origines ethniques) et de l'autre, celui d'une tante plus revendicative. C'est logiquement en confrontant ces deux regards que Marlène va peu à peu s'accepter.

Si pour Marlène c'est ses cheveux qui cristallisent l'attention et qui sont au coeur du récit, le message est plus large. Ainsi, ne doutons pas que sa coiffure est le symbole de ce combat intérieur par lequel tout adolescent passe, de la volonté de se fondre dans le moule au nécessaire besoin de se distinguer peu à peu du groupe et de se forger sa propre identité.

J'ai beaucoup aimé les personnages. Marlène est drôle et attachante. Mon personnage préféré est tante Ruby, car elle s'assume pleinement, est une femme forte et indépendante. Elle sera pour Marlène une alliée précieuse dans sa quête de confiance en soi. Son discours est clair, limpide et bienveillant, il touchera, je l'espère, les ados.
Lien : https://www.lirado.fr/frizzy..

Marlène est une jeune fille spontanée, naturelle et qui a du mal à accepter les injonctions de sa mère à rentrer dans le cadre pour mieux s'intégrer. En particulier en ce qui concerne ses cheveux, qu'elle a très bouclés : sa mère insiste pour les discipliner à grands coups de passages au salon du coiffure pour une séance de "lissage/torture". Marlène a malgré tout une belle relation avec sa mère et avec un peu de communication, tout s'adoucit.
Une jolie bande dessinée jeunesse sur l'acceptation et l'affirmation de soi. Les illustrations sont dynamiques, pleines de pep's et de couleurs girly !

Une très jolie bande dessinée jeunesse! Jolie aussi bien par son histoire, que par ses illustrations. Jolie mais loin d'être gnan-gnan.
Une histoire familiale qui explore les croyances qui sont transmises dans les générations d'une famille, la liberté d'être soi notamment à l'âge de l'adolescence. J'ai trouvé la construction de ce livre assez fine et à travers des histoires de cheveux touché des choses profondes. Cela peut amener beaucoup de choses je trouve à des adolescent(e)s en construction et peut-être déjà un partage de cette bd avec leurs parents car elle peut ouvrir pleins de pistes de dialogues parents-enfant

Marlène vit seule avec se mère depuis la mort de son père. Elle va au collège avec sa meilleure amie Camilla. le collège c'est l'horreur, les autres se moquent d'elle à cause de ses cheveux bouclés. Quand elle essaie de se défendre c'est elle qui est punie et sa mère veut faire disparaître ses boucles pour qu'elle s'intègre mieux. Mais les séances chez la coiffeuse tournent à la séance de torture et Marlène voudrait bien les garder ses boucles. Une bonne BD sur le poids du regard des autres et l'importance de rester soi-même.

Une bande dessinée adorable sur une collégienne qui cherche à comprendre les dictat de beauté sur les femmes noires et leurs cheveux. A force d'être poussée par sa mère à ne pas aimer ses cheveux au naturel elle les a détestés. Mais c'était sans compter sur l'aide de sa tante pour réaliser qu'elle avait le choix, le droit de porter ses cheveux au naturel, d'en prendre soin et de se sentir belle.

C'est l'histoire d'une petite fille du nom de Marlène qui voulait avoir les cheveux frisés. Tous les dimanche sa mère l'emmène chez la coiffeuse. Un jour Marlène pris du gel pour frisés ses cheveux mais ça ne s'est pas passé comme prévue. Ensuite la maman de Marlène est d'accord pour se frisés les cheveux.
Rachel 6a

Un roman graphique pour pré-ado et ados sur l'acceptation de soi, quelque soit son physique, et notamment la nature de ses cheveux.
Ce titre pourra paraître un peu "gentil” à certains mais pour ceux qui ne le savent pas, avoir les cheveux frisés est bien + difficile à accepter qu'il n'y parait, notamment à cause de l‘image négative véhiculée dans notre société concernant le côté “négligé“ des boucles par rapport aux cheveux lisses.
Une BD bienveillante qui fait du bien.

Je n'ai pas aimé: "oh pardon, Marlène a une tête de Chewbacca". pourquoi je n'ai pas aimé cette phrase ? je n'aime pas cette phrase car c'est ultra provocant et méchant.

Marlène déteste le salon de coiffure depuis que son père est décédé. Marlène et sa mère vont tous les dimanches au salon. Sa mère veut que sa fille ait les cheveux lisses, mais elle déteste ça elle veut ses cheveux bouclés.

Frizzy


J'ai aimé cette bande dessinée car elle était drôle, réaliste et amusante. Elle m'a tellement plu qu'elle m'a paru courte et originale. Certains passages étaient vraiment amusants. Les personnages que j'ai particulièrement aimés sont Tya et Ruby car les personnages sont drôle et gentils mais je n'ai pas aimé Laila car elle embêtait sa soeur.

Une chouette petite BD à destination des enfants et des ados, avec une héroïne qui souhaite assumer ses cheveux frisés, malgré la volonté inverse de sa famille !
Un exemple parmi tant d'autres qu'on a besoin de davantage de représentation dans les ouvrages pour la jeunesse ! En lisant cette BD, j'ai pensé à toutes ces ados aux cheveux frisés ou crépus, qui se retrouveraient dans cette lumineuse Marlène, qui ose s'assumer telle qu'elle est (c'est-à-dire, magnifique) !