Padura, c'est un grand frère. Celui que l'on ne connait pas, mais qui à chaque rencontre, éveille en vous quelque chose de l'ordre de l'intime et de la distance. Si "
Poussière dans le vent", n'a sans doute pas la puissance de "
L'homme qui aimait les chiens" ou des "
Hérétiques", il n'en reste pas moins que cela fait un bien fou d'avoir des nouvelles de sa famille.
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