Deuxième tome de la trilogie Marseillaise, indissociable de
Marius et de
César.
C'est (encore) un autre bijou de
Marcel Pagnol, un bijou de tendresse, bienveillance et volupté.... C'est beau, c'est magnifique, c'est du
Pagnol...
A lire et relire sans aucune modération...
Et comme le précise Cascasimir dans les commentaires, c'est d'une partie de cartes de ce tome qu'est issue la célèbre réplique de
Cesar à Panisse : « tu me fends le coeur » ....
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