Si je suis née pour le dévouement, Dieu veuille donc ôter de ma tête l'amour de l'art, la poésie et l'instinct de la liberté, qui fait de mes dévouements des supplices et une agonie ; si je suis née pour l'art et pour la liberté, qu'il ôte donc de mon cœur la pitié, l'amitié, la sollicitude et la crainte de faire souffrir qui empoisonneront toujours mes triomphes et entraveront ma carrière. (Georges Sand)
En 1941, cette immense écrivaine, pensant devenir folle, va se jeter dans une rivière les poches pleine de pierres. Avant de mourir, elle écrit à son mari une lettre où elle dit prendre la meilleure décision qui soit.