Je suis heureux quand je suis content de ce que j’ai et que je ne désire pas quelque chose que je n’ai pas, que j’ai perdu ou que je n’ai jamais eu.
J’ai toujours accueilli comme une bénédiction de la vie le fait de n’éprouver aucune attirance pour les salopes. Je ne suis pas de ces hommes qui craquent pour des femmes à l’air hautain qui les saignent à blanc et les piétinent. Je n’ai pas de penchant masochiste. La vie est sacrément trop courte pour m’imposer ce genre d’épreuve.
La bonté, c’est bien d’y être confronté si on est soi-même bon. Si on n’est pas bon, et en ce moment je ne suis pas du tout bonne, alors la bonté est simplement exaspérante.
Si on croyait tout ce que nous dit la télé (et c’est le cas), on aurait l’impression
que les amis prêts à donner un rein comme on donne un caramel se bousculent au portillon. Ce n’est pas comme ça dans le monde réel. C’est un peu plus difficile de trouver de vrais amis.
Un baiser peut signifier tant de choses, ou rien du tout. Leur variété, dans la forme comme dans la signification, m’a toujours étonnée. Un baiser peut être une façon de dire bonjour ou au revoir, un acte de dévotion ou de trahison ; un baiser peut apaiser, réconforter ou exciter.
Nous sommes restés inséparables tout au long de la seconde et de la première. C’était l’amour fou, comme seuls des adolescents peuvent le vivre. On révisait ensemble, on se lisait des poèmes, il chantait et jouait de la guitare…
Les femmes adorent quand un homme redevient un gosse.
Nous avons sympathisé parce que nous pensons toutes les deux que mieux vaut rire sans quoi les larmes ne tardent pas et que les horoscopes ne disent pas que des bêtises.
Nous avons sympathisé parce que nous pensons toutes les deux que mieux vaut rire sans quoi les larmes ne tardent pas et que les horoscopes ne disent pas que des bêtises.
C’est vrai, quand on a vingt et un ans on part toujours en route pour l’aventure : ça s’appelle la vie.