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3,55

sur 1951 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Un roman autobiographie qui ne m'a pas tellement emballée, bien que le roman ait fait parler de lui à l'époque de sa sortie.
J'ai eu l'impression de lire un journal intime, mais pas forcément un récit adressé à des lecteurs et en étant parfois désordonné dans l'organisation de celui-ci.
Les passages de la relation père/fils sont ceux qui m'ont le plus intéressés, mais là encore je n'ai pas trouvé que l'auteur avait été au fond des choses.
Le titre du roman est bon et plutôt attrayant.
Par ailleurs, il est toujours difficile d'écrire sur la dépression, et l'auteur est passé aussi je trouve à côté de ce sujet.
Déçue par cette lecture, pour autant je l'ai lu plutôt facilement.
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Déçue par ce roman autobiographique de Panayotis Pascot, la prochaine fois que tu mordras la poussière.
A l'annonce de la mort prochaine de son père, l'auteur humoriste et chroniqueur, décide qu'il est temps d'écrire et de vider ce qu'il a en lui.
Il raconte ses difficultés à passer à l'âge adulte, à accepter son homosexualité et les rapports compliqués avec son père, mais également ses dépressions.
Je n'ai eu aucune empathie pour lui et n'ai pas compris le pourquoi de ce livre, pourquoi étaler tout ça .....
Rien ne m'a emballé ni l'écriture, ni l'histoire......
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L'auteur Panayotis Pascot m'a beaucoup touché lors de l'émission « La grande librairie », j'ai donc décidé de le découvrir et d'ouvrir ce livre qui pour moi s'approche d'un journal intime.
La fin de ce livre m'a laissée sur un sentiment positif mais j'avoue que j'ai trouvé la première moitié très décousue. Pour moi, l'auteur a déposé ses pensées directement, telles qu'elles étaient sur le papier et j'ai trouvé cela un peu confus, sans vraiment trouver un fil conducteur. Puis il se confie sur sa dépression profonde, sa relation avec son père et le poids que peut représenter le fait d'être homosexuel et le livre à enfin pris du sens pour moi.
J'ai découvert un homme touchant, rempli d'amour qui demande juste à être heureux, aimé, amoureux et surtout trouver la paix et vivre enfin sereinement.


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Je n'ai jamais été emballée par la lecture de ce livre, et encore moins quand j'ai vu l'engouement qu'il provoquait. J'ai plutôt tendance à fuir les mises en avant pour me consacrer aux trésors cachés.
Sous prétexte qu'il est connu, qu'il fait des vues et des clics, il est publié. Comme tous ces livres qui naissent d'on ne sait qui. Panayotis se différencie de ces gens-là quand même par sa recherche et son acharnement.
Mais finalement, je l'ai lu, et très rapidement.
Déjà parce que je suis une inconditionnelle des @editionsstock , et aussi parce que j'aime les témoignages, j'aime que l'on raconte l'intime avec des mots universels.
Mais voilà, j'aime les mots, les tournures, les syntaxes, la recherche de style, les formulations. Et là…je n'ai pas trouvé cela.
Panayotis est audacieux, et je sais qu'il a mis le coeur à l'ouvrage dans l'écriture de son livre. Je le félicite, il a commencé par jeter des mots, et les phrases se sont transformées en pages. C'est un livre témoin, un livre dont il avait besoin, un livre qui est allé explorer ses moindres recoins.
C'est un livre accessible au tout venant, qui touchera un grand nombre. Il évoque sans fard des sujets forts, touchants et intimes.
Il ne se cache pas, ne ment pas, il avoue et assume. Ses doutes, ses craintes, son impermanence, sa souffrance. Bravo pour cela. Quelques phrases impactantes et bien trouvées, mais ce livre ne me marquera pas.
J'aime le travail d'écrivain derrière chaque oeuvre, chose que je n'ai pas trouvée ici, même si je salue sa résilience et le succès de son livre.
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J'ai lu ce livre car on l'a vu partout sur les réseaux sociaux et son auteur à la télé pour le présenter. Je me suis laissée tenter devant tous les avis dithyrambiques.
Je vais être franche, je n'ai pas adhéré à l'écriture de ce roman autobiographique et me suis souvent ennuyée.
Pour moi, c'est trop brouillon. On passe de l'évocation de sa vie, de sa relation avec son père à celles avec les femmes et les hommes, son ressenti... souvent je suis revenue sur mes pas car je ne comprenais plus de qui Panayotis parlait.
Ce manque de structure du texte m'a perdue. Un chapitre pour évoquer son père et leur relation, un autre sur ses relations amoureuses, un sur sa dépression, un sur l'écriture, ... aurait été plus judicieux.

Même si je suis passée à coté de cette lecture, je comprend pourquoi ce livre a beaucoup plus et surtout pour les jeunes car Panayotis Pascot s'y livre sans filtre. Il couche sur le papier sa vie intime, familiale et professionnelle avec un regard critique et une plume tranchante. Et c'est ce qui fait la force de ce livre.
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Je ne connaissais pas Panayotis Pascot, jeune auteur et humoriste français, avant de l'entendre dans la Grande Librairie. Il m'a intéressée et m'a donné envie de lire son livre. Il y parle de sa relation difficile à son père qui va bientôt mourir et avec qui il n'arrive pas à communiquer normalement. Il aborde sa difficulté à accepter son homosexualité et la maladie dont il souffre, la même qu'Emmanuel Carrère, une dépression mélancolique, qui fonctionne par cycle de 6-7 ans et peut pousser au suicide. J'ai globalement été déçue par rapport à mes attentes. Cet auteur a un style mais j'ai quand même trouvé l'ensemble trop répétitif et inutilement cru quand il parle de ses relations sexuelles. Je m'attendais à apprendre plus de choses sur sa relation toxique avec son père ou sur sa maladie et moins sur son homosexualité.
Lien : https://monpetitcarnetdelect..
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Une lecture que j'attendais tant les critiques que j'avais lues étaient élogieuses. Connaissant et appréciant ce jeune humoriste depuis ses débuts, il me semblait intéressant de découvrir son écriture. Si dans l'ensemble j'ai un bon souvenir de cette lecture, mon attente a quand même été déçue, j'ai trouvé plusieurs passages vulgaires et un manque certain de recul et d'analyse.
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Quand son père lui annonce qu'il va bientôt mourir, Panayotis Pascot se met à écrire. Il met son âme à nu sur le papier et passe au crible sa vie, en tout cas trois ans de celle-ci. Entre relations familiales, amoureuses et sexuelles, ce sont trois ans qu'il étale dans ce roman court de 240 pages.

C'est assez bien écrit mais je me suis globalement ennuyée. le roman est répétitif, décousu et l'absence de fil narratif n'a pas aidé à garder mon attention entière. Je ne connaissais pas l'auteur, j'avoue… Peut-être aurais-je trouvé son journal intime - car c'est bien ce dont il s'agit en fait - plus intéressant si cela avait été le cas.

Par contre, j'ai beaucoup apprécié la qualité de la version audio et surtout l'interprétation de Gabriel Bismuth-Bienaimé. L'immersion était totale et j'ai vraiment eu l'impression que la lecture était faite par son auteur!
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Ce livre, j'ai failli l'abandonner. Dégoûtée, choquée par les détails intimes, crus et surtout inutiles des premiers chapitres.
Mais j'ai tenu bon, grâce à la présentation d #AugustinTrapenard dans #lagrandelibrairie, qui m'avait amenée à ce livre. Et là, j'ai été touchée par la sincérité du jeune homme, par son travail sensible et tenace de compréhension de sa dépression, de sa sexualité, et de ses rapports difficiles à son père. Il réussit à apporter un regard neuf, sur ces sujets très présents en littérature, regard ancré dans notre époque mais pourtant atemporel.
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Sur le style de ce récit-confession-témoignage, rien à dire, c'est propre, incisif, bien tourné ; Panayotis est chroniqueur télé, humoriste, il connaît le rythme et le mot qui foudroie. Sur le fond hélas, la chanson est différente, et on peine à sympathiser avec l'auteur, pour plusieurs raisons. Bien que Panayotis évoque des sujets graves, actuels et cruciaux (la maladie du père, la dépression, la difficulté du coming-out, même à Paris, même maintenant) les chapitres 'accumulent, traversés d'extrême impudeur, et on sent que le récit souhaiterait se mettre à nu, dire tout, tout faire comprendre, sans retour. le problème c'est que ce texte devrait plutôt s'adresser un thérapeute qu'un lecteur, qui se trouve un peu floué de devoir endosser un rôle pour lequel il devrait être payé (alors qu'en réalité c'est lui qui a acheté le livre...)
En bref une expérience de lecture pas désagréable mais un peu vaine.
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