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Critique de bleuchocolat
« Plus jamais » est mon premier roman de James Patterson, que je viens de lire dans le cadre de l'opération masse critique « mauvais genres ». Merci donc à Babelio et aux éditions de l'Archipel pour cette découverte.
L'action se situe en Australie, dans la région minière de Kalgoorlie. Voulant l'éloigner de Sydney pour éviter le battage médiatique (son frère a été arrêté pour le meurtre de trois étudiantes), le chef de Harriet Blue l'envoie enquêter sur une disparition en plein désert, sur un site minier. A ce propos, l'intrigue concernant le frère d'Harriet est vite laissée de côté, simple prétexte à envoyer l'héroïne à l'autre bout du pays...
le tueur, « Le Soldat », semble prendre pour cibles des « traîtres », dans ce territoire hostile, terrain de chasse tout trouvé et qui s'apparente presque à un décor de jeu vidéo. le duo d'enquêteurs fonctionne comme souvent sur un jeu d'oppositions, Harriet ayant un caractère bien trempé (ce qui ne rend pas le personnage très attachant et qui m'a un peu agacée) et Edward Whittacker se montrant plus flegmatique et posé. L'incursion dans l'univers d'un centre minier australien en revanche est intéressante, permettant un huis clos angoissant.
Le rythme est soutenu, les chapitres très courts, on tourne les pages en voulant savoir la suite : en bref, une sympathique lecture de vacances mais qui ne restera pas dans ma mémoire... mais peut-être mon avis est-il faussé par ma lecture précédente, « La chance du perdant » de Christophe Guillaumot...
L'action se situe en Australie, dans la région minière de Kalgoorlie. Voulant l'éloigner de Sydney pour éviter le battage médiatique (son frère a été arrêté pour le meurtre de trois étudiantes), le chef de Harriet Blue l'envoie enquêter sur une disparition en plein désert, sur un site minier. A ce propos, l'intrigue concernant le frère d'Harriet est vite laissée de côté, simple prétexte à envoyer l'héroïne à l'autre bout du pays...
le tueur, « Le Soldat », semble prendre pour cibles des « traîtres », dans ce territoire hostile, terrain de chasse tout trouvé et qui s'apparente presque à un décor de jeu vidéo. le duo d'enquêteurs fonctionne comme souvent sur un jeu d'oppositions, Harriet ayant un caractère bien trempé (ce qui ne rend pas le personnage très attachant et qui m'a un peu agacée) et Edward Whittacker se montrant plus flegmatique et posé. L'incursion dans l'univers d'un centre minier australien en revanche est intéressante, permettant un huis clos angoissant.
Le rythme est soutenu, les chapitres très courts, on tourne les pages en voulant savoir la suite : en bref, une sympathique lecture de vacances mais qui ne restera pas dans ma mémoire... mais peut-être mon avis est-il faussé par ma lecture précédente, « La chance du perdant » de Christophe Guillaumot...
