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Encore une fois,
Jeanne Pears nous offre un deuxième pavé avec sa magnifique plume qui nous accompagne durant toute la lecture. Il faut le dire :
Jeanne Pears réussit à poser des mots justes sur des émotions fortes et touchantes. En ouvrant cette duologie, vous avez affaire à un roman complexe, avec une psychologie détaillée et complexe.
On retrouve dans ce deuxième tome Garrett et Maxine à qui la vie n'a pas encore décidé d'offrir des cadeaux. Ils ont tous les deux grandi, vécu d'autres choses pendant ces huit années l'un sans l'autre. C'est assez étrange parce qu'on a l'impression à la fois de retrouver des personnages fragilisés par le manque de l'autre, mais en même temps, plus forts grâce à la maturité qu'ils ont prise et parce qu'à présent, c'est le bon moment pour un « nous ». Encore une fois, Maxine nous a énormément touchées, tout comme Garrett. L'auteure arrive sans mal à nous faire ressentir chaque émotion que les personnages vivent que ça en est bouleversant. La psychologie de chaque personnage est poussée jusqu'à l'authenticité ; c'est beau et complexe à lire et à suivre. L'auteure fait apparaitre chaque mal, chaque faiblesse et force avant de les panser par l'amour d'une famille, l'amour entre les protagonistes et l'amour avec la famille de coeur.
Au niveau de la romance, on a encore droit à une relation en douceur, pleine de tendresse, de leçons, d'attente, d'espérance, d'Amour, de complication, mais aussi de joie. Ce qui nous a le moins plu avec ce deuxième tome, c'est le fait qu'on a vite eu l'impression de retomber dans le même schéma que le tome 1. de plus, il y avait quand même beaucoup de longueurs tout au long du roman qui faisaient que parfois on s'ennuyait un peu. Pourtant, au début, on trouvait que ce tome présentait plus d'actions et de retournements de situation.
Merci infiniment à la maison d'édition pour l'envoi et leur confiance !