il faut trouver de nouvelles formes d’érotisme, et peut-être est ce aux femmes de les inventer. p. 96
Acquérir l’indépendance est sans doute le combat le plus essentiel pour une femme. p.92
L’indépendance , c’est la liberté de choix dans tous les domaines. p.92
Le pouvoir, ce sont des coups à prendre et des coups à donner p.95
Entre les femmes et les livres, un pacte de longue durée s’est noué dans l’intimité de la chambre, et perdure aujourd’hui. p. 78
Les femmes ont raison de se penser libres et autonomes parce que ce sont des valeurs dynamiques et que se penser comme victimes n’est pas stimulant. p. 57
La conscience féministe passe aussi par les « ruptures d’évidences », comme disait Foucault. Ce qui semblait normal, incontestable, devient un jour problématique, contestable. p. 55
Etre pionnière, c’est franchir la ligne de démarcation entre le permis et l’interdit. p. 50
Il n’y a pas, dans le domaine scientifique une manière féminine et une manière masculine de travailler, il existe un universel dans la pratique. (…) On peut imaginer qu’une écriture de femme apporte une singularité parce qu’elle a une expérience différente de celle des hommes. p. 46
Très souvent, elles n’ont pas cherché elles-mêmes à développer leur mémoire p. 43