Durant mes années Friends, mon poids a varié de 58 à 102 kilos.
On peut suivre l'histoire de mon addiction en observant mes variations de poids d'une saison à l'autre quand je suis gros c'est l'alcool, quand je suis mince ce sont les pilules (quand je porte un bouc, c'est vraiment trop de pilules).
La seule chose plus excitante que l'idée que vous participiez à la série, c'est que j'ai enfin une excuse pour vous envoyer des fleurs.
Sans que je m'en rende compte, l'alcool était devenu le gouvernail de ma vie.
La célébrité, la célébrité, la célébrité, voilà ce qu'on voulait. Et des filles. Et, hum, la célébrité. C'était tout ce qui nous importait à moi en tout cas, parce que j'étais convaincu que devenir célèbre comblerait l'immense vide qui ne cessait de grandir en moi.
Mon père parti, j'ai vite compris que j'allais avoir un rôle à jouer à la maison. Mon boulot, c'était d'amuser, d'amadouer, de délecter, de faire rire les autres, de calmer, de plaire, d'être le bouffon de la cour.
Si je tombe le masque, le Chandler, et vous montre qui je suis vraiment, je vous plairai peut-être. Mais il y a pire : je vous plairai peut être et vous me quitterez. Et ça, c'est impossible. Je n'y survivrais pas. Plus maintenant. Ça me pulvériserait, me détruirait
Mon cerveau a décidé de me tuer, je le sais.
Salut, je m'appelle Matthew, même si vous me connaissez probablement mieux sous un autre nom. Mes amis m'appellent Matty.
Et je devrais être mort depuis longtemps.