Je suis entré dans le travail de
Jean-Christian Petitfils par son excellent
Louis XIV, mais c'est son
Louis XVI, découvert peu après, touchante et minutieuse réhabilitation de ce roi mal aimé qui m'a incité à poursuivre la lecture de son oeuvre d'historien.
Avec
Fouquet, j'ai retrouvé le plaisir conjugué de la rigueur des recherches, de la précision et du fourmillement des informations toujours bien senties, et d'un style clair, littéraire, qui sait conserver un vocabulaire riche et exigeant non dénué d'humour ou de causticité.
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