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Critique de Shork
Mais qui est donc ce Jacques Ramirez ? Un employé modèle de la Robotop company, qui répare les aspirateurs les yeux bandés ? Ou bien un terrible tueur dans l'ombre de la mafia mexicaine ? Une chose est sûre, il a un don particulier pour s'attirer des ennuis...
Nicolas Petrimaux livre un projet abouti et entier, qui nous plonge dans l'ambiance des années 80 américaines, à la frontière de la bande dessinée, du comic et du film d'action. Un soupçon de Tarantino, un ton résolument décalé, et une bonne dose de second degré. Les personnages sont réussis. Des interludes publicitaires détournent des objets phares de la culture consumériste occidentale. le graphisme est plein d'énergie pour des scènes d'action ébouriffantes. Les couleurs vives donnent vie aux décors de l'Arizona.
Bref, j'ai adoré la lecture de ce premier “acte”, qui n'attend que le suivant…
Nicolas Petrimaux livre un projet abouti et entier, qui nous plonge dans l'ambiance des années 80 américaines, à la frontière de la bande dessinée, du comic et du film d'action. Un soupçon de Tarantino, un ton résolument décalé, et une bonne dose de second degré. Les personnages sont réussis. Des interludes publicitaires détournent des objets phares de la culture consumériste occidentale. le graphisme est plein d'énergie pour des scènes d'action ébouriffantes. Les couleurs vives donnent vie aux décors de l'Arizona.
Bref, j'ai adoré la lecture de ce premier “acte”, qui n'attend que le suivant…
