J'ai lu cette courte pièce de théâtre d'
Alexandre Pouchkine parue en 1836 parce que
Mikhaïl Boulgakov en fait référence dans son roman russe "
Le maître et Marguerite".
C'est l'histoire d'une relation entre un fils et son père sur le thème de l'avarice.
Il était une fois un chevalier nommé Albert qui menait une vie que son père, le baron, appelait de débauche. Mais c'était un prétexte pour ne pas lui donner d'argent. Étant trop avare il préférait contempler ses coffres plutôt que profiter de la vie. le jeune chevalier n'ayant plus de quoi acheter un nouveau casque ni une bouteille de vin demande un prêt à un juif qui lui propose d'empoisonner le baron. Il en est choqué et furieux, va demander au duc, qui rend la justice, d'intervenir pour recevoir une pension de son père. L'entrevue se passe mal mais cela fini par un héritage. Comme quoi garder son argent n'aide pas à vivre plus longtemps.
J'aime beaucoup cette petite pièce de théâtre en un acte de trois scènes mais j'ai toujours eu du mal avec les caricatures de juifs usuriers. Cela gâche vraiment l'histoire.
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