Ce qui nous rend malheureux n'est pas ce dont nous manquons mais ce que nous possédons ; et quand nous nous dépouillons des plus précieuses de nos possessions superfétatoires, nous saisissons la vie dans sa véritable signification monumentale.
Dans la convalescence, un attouchement, un mot, un regard de qui sympathise avec nous ressemblent à l'approche d'un Dieu.
Tout être humain se trouve seul au cœur du mental. A la naissance, nous crions ; et ce cri est le cri de la solitude.
"L'absence", dit le proverbe, "adoucit le cœur", et c'est pour cette raison que les adeptes de la solitude font les meilleurs amants et les meilleurs amis.