Après
le soir, Lilith et
le scénar,
Philippe Pratx a eu la gentillesse de me proposer son nouvel opus,
Karmina Vltima. Comment ne pas craquer ? Rien que le titre m'enchante, me faisant penser au Carmina Burana. Et cette magnifique couverture vient s'ajouter à la beauté du texte.
Je suis ressortie essorée de ce livre, essorée mais ayant passé un très agréable moment de lecture. On commence cette dernière par de la poésie, on lit (j'allais dire « on écoute » tant cela m'a paru vivant) l'histoire de cet africain, le dernier Mangbetu. J'ai de suite pensé à Picasso, inspiré par un masque Mangbetu pour créer Les Demoiselles d'Avignon si j'ai bonne mémoire. Décidément,
Philippe Pratx a toujours le don de convoquer en moi des références culturelles. Mais revenons à l'histoire… ou plutôt à ce que j'ai ressenti car à partir de là, je me suis laissée aller, au rythme de la plume. Je n'ai pas forcément tout suivi, je l'avoue, mais je me suis laissée emporter par les flots poétiques.
« Je me promène dans cette forêt. Il faut savoir s'y promener, s'y perdre » écrit l'auteur. C'est ce que j'ai fait. J'ai flâné dans cette végétation luxuriante de mots, je m'y suis perdue mais avec bonheur.
Je ne peux que conseiller ce livre… c'est une petite pépite !
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