Pour quelle raison devait-on faire du mal à ceux que l’on aimait ? Pourquoi nous en apercevions nous qu’une fois qu’il était trop tard ?
Avais-je envie de passer le plus clair de mon temps recluse, prisonnière de mes frayeurs ? Devais-je m’attendre à sursauter au moindre bruit, à constamment me retourner pour vérifier que personne ne me suivît ? En viendrais-je à refuser tout contact avec l’extérieur, à me couper du monde ? Sur le coup, cela pouvait sembler improbable, mais qu’en serait-il, dans les dix années à venir ? C’était de suite qu’il me fallait réagir. J’avais déjà surmonté bien trop d’épreuves, pour me permettre de baisser les bras à ce stade.
Le plus souvent, c’est quand on nous dit de ne pas nous faire de souci qu’il y a lieu de s’en faire.
Malgré mes malheurs, je mangeais à ma faim tous les jours, j’étais habillée chaudement et j’avais un toit sur la tête.
Simone, c'était une très vielle, avec des cheveux blancs et un éternel chignon. On savait qu'elle était vraiment très vieille, parce qu'elle s'appelait Simone et que c'était un prénom de vieille.
Aux victimes de intransigeance d'hommes qui, allant au-delà de ce qui est écrit , s'assoient sur le trône de Dieu
En vérité, les larmes d’une amie sont le baume qui apaise les souffrances d’un cœur meurtri.
Il fallait oublier le passé, s’occuper du présent et travailler pour l’avenir.
Mais je n’avais pas l’intention de continuer à être la coupable plus longtemps. L’épreuve de cette soirée avait été trop forte. Non, ils n’avaient pas le droit de me faire ça. J’avais échappé à un viol physique, mais le viol psychologique que j’avais subi était bien pire.
J’avais confiance en lui, mais on n’était jamais trop prudente.