>
Critique de Khalya
J'adore cette série et la fin de ce tome laisse entendre que l'auteur ne ferme pas la porte à un ou plusieurs autres tomes, même si la saga est réputée terminée.
Luke a toujours eu une chance insolente, au point qu'il est surnommé Lucky Luke par ses amis et ses coéquipiers.
Mais depuis quelques temps, il me semble poursuivi par une sacrée poisse, au point que ses coéquipiers et son coach pourraient vouloir le virer de son équipe de baseball (milieu très superstitieux).
Tory, elle, est réputée pour porter chance.
Tous ses ex se sont vus touchés par la chance : victoires sportives, contrats musicaux etc... et on l'a affublée du surnom Victory.
J'ai d'ailleurs eu l'impression qu'elle ne mesure pas bien la portée de cette réputation.
Après que Luke, qui lui a commandé des gri-gri porte-chance, lui ait ouvert les yeux sur son petit ami, lui et Tory décident de faire semblant de sortir ensemble afin de « rassurer » les coéquipiers du jeune homme.
Comme dans chaque tome, il y a beaucoup d'humour.
Tory a la capacité de concentration d'un suricate et Luke, qui est un sceptique, la rend dingue.
J'ai beaucoup aimé Belzébuth, son chat, et surtout Wild, le pigeon qui percute le pare-brise de Luke et qui se prend d'affection pour le couple pendant sa convalescence.
L'auteur fait un clin d'oeil à son roman « fan Squad » en citant les personnages principaux. Elle ne spoile rien en ce sens que ceux qui n'ont pas lu le roman ne relèveront pas ce passage.
Comme d'habitude, ce tome se lit d'une traite tant l'histoire est prenante.
Il nous faut un autre tome !
On ne peut pas faire ça à Tory : terminer sur un tome 5 !
Luke a toujours eu une chance insolente, au point qu'il est surnommé Lucky Luke par ses amis et ses coéquipiers.
Mais depuis quelques temps, il me semble poursuivi par une sacrée poisse, au point que ses coéquipiers et son coach pourraient vouloir le virer de son équipe de baseball (milieu très superstitieux).
Tory, elle, est réputée pour porter chance.
Tous ses ex se sont vus touchés par la chance : victoires sportives, contrats musicaux etc... et on l'a affublée du surnom Victory.
J'ai d'ailleurs eu l'impression qu'elle ne mesure pas bien la portée de cette réputation.
Après que Luke, qui lui a commandé des gri-gri porte-chance, lui ait ouvert les yeux sur son petit ami, lui et Tory décident de faire semblant de sortir ensemble afin de « rassurer » les coéquipiers du jeune homme.
Comme dans chaque tome, il y a beaucoup d'humour.
Tory a la capacité de concentration d'un suricate et Luke, qui est un sceptique, la rend dingue.
J'ai beaucoup aimé Belzébuth, son chat, et surtout Wild, le pigeon qui percute le pare-brise de Luke et qui se prend d'affection pour le couple pendant sa convalescence.
L'auteur fait un clin d'oeil à son roman « fan Squad » en citant les personnages principaux. Elle ne spoile rien en ce sens que ceux qui n'ont pas lu le roman ne relèveront pas ce passage.
Comme d'habitude, ce tome se lit d'une traite tant l'histoire est prenante.
Il nous faut un autre tome !
On ne peut pas faire ça à Tory : terminer sur un tome 5 !
