Balzac avait l'ambition de le faire, mais ce fut
Patrick Rambaud qui s'y colla bien plus tard: raconter sous forme romancée
la bataille d'Essling, qui eut lieu près de Vienne en 1809, entre l'armée de
Bonaparte et celle de l'Archiduc d'Autriche.
Pourquoi celle-ci ? Probablement parce que ce fut le premier grand massacre pour rien (40 000 hommes tués ou blessés en 2 jours pour aboutir à un parfait statu quo militaire), déjà annonciateur des absurdités de la Grande Guerre.
Un récit épique, qui tente de nous transmettre la réalité historique tout en imaginant comment ont pu le vivre les hommes d'alors, célèbres (Napoléon, Masséna, Molitor,
Stendhal, etc.) ou anonymes.
Personnellement j'aime beaucoup ces romans historiques. C'est une excellente façon d'aborder l'Histoire de façon plaisante.
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