>
Critique de minileila
A travers ce journal, on suit le parcours de Myriam, petite fille de 8 à 13 ans.
Elle y raconte son quotidien, son envie d'aller à l'école, sa soif d'apprendre. Et un jour, tout bascule. Un vent de révolte arrive sur le pays, suivi des manifestations, des tirs et enfin les bombes.
Au début du récit, il y a de la légèreté, celle d'une enfant innocente. Et au fil des pages, le récit se fait plus lourd, plus pesant. Myriam comprend qu'il se passe quelque chose de grave mais les adultes essayent de la tenir à l'écart. Elle se met alors à observer tout le monde afin de savoir.
En parallèle, elle reste une enfant qui a soif d'apprendre et quand elle ne peut plus aller à l'école parce que sortir est devenu trop dangereux, elle est anéantie. Elle ne peut plus aller dehors jouer ce qui est dure non seulement pour elle mais pour tous les enfants.
Elle raconte aussi son envie d'aider ceux qui doivent se déplacer et viennent dans un premier temps dans le parc en bas de son immeuble. Sa maman va être de plus en plus sollicitée pour aider ces familles dans le besoin, familles qui sont souvent d'une autre religion qu'elle mais cela importe peu.
Ce livre m'a beaucoup ému. La force de cette petite fille est incroyable. En même temps, on voit qu'une poignée de gens détruisent au nom d'une religion alors que le peuple ne demande que vivre en paix.
Ce texte m'a fait écho au "Journal d'Anne Frank" que j'ai lu, il y a de nombreuses années au collège. Ces témoignages devraient permettre que les mêmes erreurs ne se reproduisent pas mais malheureusement, je crois que c'est utopique de penser ça. Peut-être qu'un jour...
Elle y raconte son quotidien, son envie d'aller à l'école, sa soif d'apprendre. Et un jour, tout bascule. Un vent de révolte arrive sur le pays, suivi des manifestations, des tirs et enfin les bombes.
Au début du récit, il y a de la légèreté, celle d'une enfant innocente. Et au fil des pages, le récit se fait plus lourd, plus pesant. Myriam comprend qu'il se passe quelque chose de grave mais les adultes essayent de la tenir à l'écart. Elle se met alors à observer tout le monde afin de savoir.
En parallèle, elle reste une enfant qui a soif d'apprendre et quand elle ne peut plus aller à l'école parce que sortir est devenu trop dangereux, elle est anéantie. Elle ne peut plus aller dehors jouer ce qui est dure non seulement pour elle mais pour tous les enfants.
Elle raconte aussi son envie d'aider ceux qui doivent se déplacer et viennent dans un premier temps dans le parc en bas de son immeuble. Sa maman va être de plus en plus sollicitée pour aider ces familles dans le besoin, familles qui sont souvent d'une autre religion qu'elle mais cela importe peu.
Ce livre m'a beaucoup ému. La force de cette petite fille est incroyable. En même temps, on voit qu'une poignée de gens détruisent au nom d'une religion alors que le peuple ne demande que vivre en paix.
Ce texte m'a fait écho au "Journal d'Anne Frank" que j'ai lu, il y a de nombreuses années au collège. Ces témoignages devraient permettre que les mêmes erreurs ne se reproduisent pas mais malheureusement, je crois que c'est utopique de penser ça. Peut-être qu'un jour...
