Les roses, c’est toujours une bonne solution de secours et, même s’il préfère les prendre à Londres parce que la qualité est meilleure, celles-ci feront l’affaire jusqu’à ce qu’il puisse aller au marché. Les chrysanthèmes partent généralement bien parce qu’ils ne sont pas chers, mais ce ne sont pas eux qui font revenir les clients car ils durent une éternité.
On peut être tenté de faire appel à des stimulants pour pouvoir continuer d’avancer quand on est stressé ou, à l’inverse, de prendre quelques verres pour se détendre en fin de journée, mais, dans ces deux cas, les excès sont à déconseiller.
Si nos adoptons un mode de pensée négatif, nous le ressentons aussitôt sur le plan émotionnel. Si nous sommes persuadés par exemple que quelque chose de terrible va se produire, notre cerveau intercepte ces messages et les traduit sous forme de réactions physiques.
Certains jours, j’ai le moral à zéro, tandis que d’autres, je me sens au plus mal, mais différemment. C’est comme si quelqu’un avait pris le contrôle de mon corps et que je n’étais plus du tout moi-même.
Quoi qu’elle fasse, les pensées sont là qui se bousculent, qui se gravent dans son cerveau. Elle a beau s’efforcer de les analyser, de se raisonner, le cycle est immuable : tu es une ratée, une mère nulle, une bonne à rien. Indigne d’être aimée, irresponsable, faible.
Quand le soleil brille, la lumière rebondit sur la mer et, avec ses amples proportions, leur rue en courbe se fait alors opulente, semblant offrir à ses résidents plus d’espace pour respirer, pour être eux-même
Notre humeur, quelle qu’elle soit, est liée à nos processus de pensée. La dépression met en œuvre des pensées, et ces pensées peuvent être modifiées.
Nos pensées agissent sur nos émotions ou nos humeurs et, à leur tour, celle-ci agissent sur notre comportement et sur les réactions de notre corps.
Pleurer peut être une très bonne chose.
Vos larmes sont peut-être le signe que quelque chose est en train de se libérer, voire de changer.