"On peut être tenté de faire appel à des stimulants pour pouvoir continuer d'avancer quand on est stressé ou, à l'inverse, de prendre quelques verres pour se détendre en fin de journée, mais, dans ces deux cas, les excès sont à déconseiller. "
La maladie d’Alzheimer est souvent une lente déchéance et nous n’avons eu aucun signal d’alarme précis.
Poser des limites est une étape essentielle pour rendre quelqu’un responsable de lui-même et de son existence.
Chaque chose en son temps. Ne croyez pas que votre situation actuelle ne changera jamais ; essayez de vivre dans le présent. Envisager l’échec, c’est aller au-devant de l’échec. Au contraire, restez ouverts à tout ce qui se présente à vous.
On peut être tenté de faire appel à des stimulants pour pouvoir continuer d’avancer quand on est stressé ou, à l’inverse, de prendre quelques verres pour se détendre en fin de journée, mais, dans ces deux cas, les excès sont à déconseiller.
Si nos adoptons un mode de pensée négatif, nous le ressentons aussitôt sur le plan émotionnel. Si nous sommes persuadés par exemple que quelque chose de terrible va se produire, notre cerveau intercepte ces messages et les traduit sous forme de réactions physiques.
Nos pensées agissent sur nos émotions ou nos humeurs et, à leur tour, celle-ci agissent sur notre comportement et sur les réactions de notre corps.
Notre humeur, quelle qu’elle soit, est liée à nos processus de pensée. La dépression met en œuvre des pensées, et ces pensées peuvent être modifiées.
Nous passons tellement de temps dans ce carcan d’autocritique que nous finissons par nous y habituer.
Dans la mesure du possible, les thérapeutes souhaitent qu’on ne quitte pas les groupes en pleine séance. Dès qu’une personne s’en va, d’autres l’imitent souvent, ce qui peut être perturbant pour ceux qui veulent rester.