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Critique de Sahyuri
La première chose qui me vient à l'esprit c'est Merci Penny Reid !
Dernier tome des tricoteuses, et toujours un beau coup de coeur.
Je suis passée par une série de montagnes russes émotionnelles avec ce livre. J'ai vécu le désarroi du deuil, la fragilité, le doute, la méfiance, le brouillard, la beauté, la tendresse, la fraternité, l'amitié, le ressentiment, l'amour... la vie en fait. Et la mort aussi. Donc la vie. J'en suis sortie un peu chamboulée, bousculée.
Comme à chaque fois la magie a opéré. On est loin de la romance de surface, il y a de la réflexion et de la profondeur dans cette série. C'est même avec un pincement au coeur que je constate que je les ais déjà tous lu, avec trop de vélocité et de voracité car j'aurai aimé pouvoir continuer encore un petit moment en compagnie des tricoteuses anonymes.
L'histoire d'Ashley est belle et délicate, c'est surement celle qui m'a le plus toucher. La plume de Penny Reid a su s'adapter à chacune de ses héroïnes, varier en fonction de leurs caractères. J'ai découvert Drew au même rythme qu'Ashley, n'est pas tout compris de ce personnage de prime abord, et en tournant la dernière page je me suis mise à le comparer à Wentworth de Persuasion (par l'inégalable Jane Austen) : un homme tout en retenue et complexité, taiseux, bourru et suspicieux mais tellement intéressant quand il laisse la porte ouverte. Il m'a énervé et je ne l'ai pas apprécié pendant un bon moment (mon aversion personnelle pour les pseudos cowboy n'a rien arrangé) et finalement c'est le personnage masculin qui m'a le plus séduite de tous les tomes.
Vraiment une lecture que je recommande car elle nourrie bien plus que les romances lambda, on vient y chercher de l'évasion, en en ressort avec un petit plus à chérir et le sentiment que la vie peut donner beaucoup si on accepte de recevoir.
Dernier tome des tricoteuses, et toujours un beau coup de coeur.
Je suis passée par une série de montagnes russes émotionnelles avec ce livre. J'ai vécu le désarroi du deuil, la fragilité, le doute, la méfiance, le brouillard, la beauté, la tendresse, la fraternité, l'amitié, le ressentiment, l'amour... la vie en fait. Et la mort aussi. Donc la vie. J'en suis sortie un peu chamboulée, bousculée.
Comme à chaque fois la magie a opéré. On est loin de la romance de surface, il y a de la réflexion et de la profondeur dans cette série. C'est même avec un pincement au coeur que je constate que je les ais déjà tous lu, avec trop de vélocité et de voracité car j'aurai aimé pouvoir continuer encore un petit moment en compagnie des tricoteuses anonymes.
L'histoire d'Ashley est belle et délicate, c'est surement celle qui m'a le plus toucher. La plume de Penny Reid a su s'adapter à chacune de ses héroïnes, varier en fonction de leurs caractères. J'ai découvert Drew au même rythme qu'Ashley, n'est pas tout compris de ce personnage de prime abord, et en tournant la dernière page je me suis mise à le comparer à Wentworth de Persuasion (par l'inégalable Jane Austen) : un homme tout en retenue et complexité, taiseux, bourru et suspicieux mais tellement intéressant quand il laisse la porte ouverte. Il m'a énervé et je ne l'ai pas apprécié pendant un bon moment (mon aversion personnelle pour les pseudos cowboy n'a rien arrangé) et finalement c'est le personnage masculin qui m'a le plus séduite de tous les tomes.
Vraiment une lecture que je recommande car elle nourrie bien plus que les romances lambda, on vient y chercher de l'évasion, en en ressort avec un petit plus à chérir et le sentiment que la vie peut donner beaucoup si on accepte de recevoir.
