>
Critique de marijardin
De la bit lit lorraine ! Il fallait y penser ! Merci à l'auteure elle-même qui m'a vendu son oeuvre avec charme et sincérité au salon Imaginales d'Epinal. L'enthousiasme n'est pas tout à fait de mise une fois la lecture achevée mais je me demande si je ne me fais pas un peu vieille pour ce genre.
Beaucoup de filles dans les rôles principaux et pas du tout d'hommes; les personnalités de type masculin sont incarnés finalement par des êtres surnaturels. Mmmm.... à psychanalyser.... Enfin ça nous change quand même de Tolkien où les personnages féminins ne présentent que 10% de la galerie de portraits et mention spéciale à George RR Martin entre les deux. Parenthèse refermée.
Je trouve un peu "gros" que la gardienne - encore un archétype du genre "tu es l'élu" c'est pas la première fois qu'on nous fait le coup, n'est-ce pas Harry ? - se retrouve au centre d'un combat vieux comme le monde entre l'archange et le prince des ténèbres. "Carrément" ! Ai-je envie de dire !
Mais j'ai quand même vraiment apprécié que le cadre se situe pas loin de chez moi, à Vaucouleurs et au château de Gombervaux. Pour une fois on n'a pas le droit à New York ou Chicago. Merci Laetitia Reynders !
Beaucoup de filles dans les rôles principaux et pas du tout d'hommes; les personnalités de type masculin sont incarnés finalement par des êtres surnaturels. Mmmm.... à psychanalyser.... Enfin ça nous change quand même de Tolkien où les personnages féminins ne présentent que 10% de la galerie de portraits et mention spéciale à George RR Martin entre les deux. Parenthèse refermée.
Je trouve un peu "gros" que la gardienne - encore un archétype du genre "tu es l'élu" c'est pas la première fois qu'on nous fait le coup, n'est-ce pas Harry ? - se retrouve au centre d'un combat vieux comme le monde entre l'archange et le prince des ténèbres. "Carrément" ! Ai-je envie de dire !
Mais j'ai quand même vraiment apprécié que le cadre se situe pas loin de chez moi, à Vaucouleurs et au château de Gombervaux. Pour une fois on n'a pas le droit à New York ou Chicago. Merci Laetitia Reynders !
