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Critique de antigoneCH


J'avais lu la saison 6 de Sauveur & fils, fin 2020, alors qu'un re-confinement, vécu assez difficilement de mon côté, débutait à peine et enchaînait inquiétudes, incertitudes et mauvaises nouvelles. J'avais donc sorti ce sixième tome de Sauveur & fils qui était en attente de lecture, certaine d'y puiser du réconfort. Sauveur & fils est pour beaucoup d'entre nous cette série doudou, destinée aux grands ados (sur le papier), mais que l'on aime à retrouver régulièrement, à tous les âges, comme un refuge. Dans ce septième opus, qui vient tout juste de sortir, le psychologue d'origine antillaise Sauveur Saint Yves, devenu papa d'une petite Léopoldine depuis plusieurs mois, a décidé d'arrêter la caféine. Quelle idée ! le lecteur refait connaissance avec ses patients, la plupart masqués (covid oblige), sa famille recomposée et tout ce joyeux bazar familial qui fait le succès de la série. Au 12 rue des Murlins, Gabin manque toujours à l'appel. Il a choisi une carrière militaire, au grand désespoir d'Alice qui se morfond. Louise et Sauveur s'interrogent à la fois sur les retards de langage de Léopoldine et la nécessité d'adopter enfin Grégoire. le vieux légionnaire et bandit, Jovo, recueilli par Sauveur est toujours là. Paul est jaloux de tout ce qui accapare Louise et Lazarre s'intéresse avec ferveur à l'écologie. Comme toujours, Sauveur jongle entre ses patients et sa famille. Dans ce septième volet, on aime à reconnaître des têtes connues. Marie-Aude Murail prend en compte aussi les effets de la pandémie. On aime ces petites phrases qui vont tout changer et tout révéler. Si vous avez adoré la série télévisée En thérapie, je vous recommande chaudement de vous plonger dans tous ces volumes, qui vous apporteront le même voile de douceur et un sentiment de compréhension réconfortant. Je n'ose espérer une huitième saison ?
Lien : https://leslecturesdantigone..
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