Et de la même façon, si tu
as un voisin hargneux, efforce-toi de te montrer
aimable. Pour avoir un bon fils, il faut commen-
cer par être un bon père, et inversement. Et cela
s'applique également aux maris et aux femmes,
aux patrons et aux employés... La seule façon de
changer le monde, c'est de changer nous-mêmes.
Parfois, sans nous en rendre compte, nous jouons avec les sentiments des enfants et détruisons des choses qui leur sont infiniment précieuses.
Quand je mourrai, je veux être une étoile. Apprends-moi à vivre pour que je puisse en devenir une.
Beaucoup de gens ont peur de la mort, alors qu'ils devraient se préoccuper de donner un vrai sens à leur vie et de la rendre fructueuse.
Il en va des gens comme des huîtres: il n'y a rien à faire sinon attendre patiemment qu'elles s'ouvrent pour nous offrir la perle qu'elles protègent.
Le bonheur provient de l’ « être » et non de l’ « avoir », de l’acceptation et de l’appréciation de ce que l’on possède, sans chercher à obtenir ce que l’on n’a pas. Bien souvent, ce qui nous manque est source de bonheur, parce que cela nous permet de nous compléter les uns les autres. Si nous étions parfaits et que nous possédions tout ce que nous désirons, comment ferions nous pour nous lier avec notre prochain ? Quelqu’un a dit une fois que ce n’est pas notre forteresse qui nous protège, la nuit, mais notre tendresse qui donne envie aux autres de nous protéger. Le chemin le plus simple et le plus direct vers le bonheur, c’est de rendre heureuses les personnes qui nous entourent.
Je n’emporte jamais la photo des êtres qui me sont chers quand je pars en voyage, pour la bonne et simple raison que l’image deux que je porte dans mon cœur est bien plus vivace.
Au même instant, et alors que j’essayais de me représenter l’aviateur à qui les étoiles souriaient, je compris qui était mon compagnon de route. Mais bien sûr ! Le mouton, la fleur, la cape bleue ... J’aurai dû y penser avant, mais j’étais ailleurs, perdu sur mon propre petit astéroïde ...
- Cette piste grise s’appelle une route, dis-je. Si nous sortions de la route à cette vitesse, nous nous tuerions à coup sûr.
- Toutes les routes sont-elles aussi tyranniques ? Qui les a inventées ?
- L’homme.
Si nous traitons les autres comme ce qu’ils sont, il ne changerons jamais, mais si nous les traitons comme ce qu’ils pourraient devenir, ils atteindront leur plénitude.