L'oberfahnrich voulut aider Franz à reprendre son équilibre. Mais celui-ci leva vers lui un visage décomposé.
Non, haleta-t-il. Je suis foutu... il vaut mieux que tu te tires.
Me tirer et te laisser entre les pattes des Ruskis ? Pour qui me prends-tu ?
Saisissant son camarade sous les bras, le colosse le souleva. Puis, avec une facilité dérisoire, il hissa le gefreiter sur ses épaules.
Non, lança encore Franz, dans un souffle... Av...
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