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Citations sur Dieu pardonne, moi pas... (12)

Les coffres de banque recèlent ce qu’on protège du regard et de la convoitise des autres. Des voleurs et de l’Etat. Les deux parfois se confondent. L’interdit y dort en paix. Les mystères. Les cachotteries. L’indiscrétion. Les horreurs aussi. Les coffres de banque sont les véritables visages du genre humain.
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Pierre-Emmanuel regardait Paris qui s’étalait, brûlé du soleil pourpre du crépuscule qui s’embrasait. Persillé de lumières, de millions de vies qui s’agitaient sans rien soupçonner de ce qui se tramait là-haut, dans les tours de verre, les cercles obscurs du pouvoir. Là où se planifiaient des guerres et des armistices, des Omaha Beach et des monuments à la patrie… alors que d’autres s’enrichissaient du sang des morts et d’un patriotisme factice pour soldats inconnus.
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« Le contraire de la connaissance, Samira, ce n’est pas l’ignorance, c’est la certitude, la croyance aveugle ! » (Malik à sa sœur)
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Malik n’était pas religieux. Il ne croyait pas, il préférait savoir. Il n’avait jamais éprouvé le besoin de Dieu. Ni besoin de béquilles pour affronter le monde. Il n’avait jamais eu besoin d’idoles à vénérer. Pour lui la religion, c’était se prosterner devant son ignorance et Malik avait choisi de vivre debout.
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Il s’était fabriqué une armure. Une inhumanité qu’il mobilisait à l’envi pour sa survie personnelle. Et se blinder. Vingt-deux ans de police l’y avaient aidé. A quarante-cinq ans passés, ses traits s’étaient creusés de nuits blanches, de planques, et de trop plein d’alcool. De tension et d’écoeurement. De coups de gueule. De mépris refoulé et de crises de rage. Contre les malfrats. La justice. Les politiques. La perversion. La connerie. (Fabrice Leroy)
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La Françafrique appartenait au passé. Mais la France-à-fric ne s’était jamais aussi bien portée.
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Maurice Leroy, fils de résistant durant la Seconde Guerre, syndicaliste […] Etant jeune, Fabrice avait adopté par atavisme les convictions de son père. Jusqu’à ce qu’il se décide à entrer à l’école de police. Par esprit de rébellion. Mais surtout par passion pour le secret, l’hermétisme, le dessous des cartes et la part d’ombre de ses contemporains.
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Le vote était le mirage des peuples. Il était l’illusion de ceux qui croient. Le véritable pouvoir est entre les mains de ceux qui savent. De ce pouvoir naissait la jouissance.
De sa vie Fabrice Leroy n’avait jamais voté.
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Fabrice Leroy sentit au contact de ce type bien autre chose qu’un simple homme d’église. A son regard de fauve. Un samouraï. Un soldat.
Ami ? Ou ennemi ? (Patrick Malone)
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Les politiciens étaient à ses yeux des pantins, des baudruches arrogantes. Comme Alain Darcilly. Darcilly croyait encore aux lois. Mais qui se soucie des lois quand on est au pouvoir ? Naouri savait que les lois étaient faites pour les faibles. Les lois n’avaient pour but que le maintien de l’ordre. A ce titre, elles pouvaient être iniques ou scélérates.
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