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Critique de Prudence
Pour les croyants c'est sûrement un livre facile à lire, agréable, qui se lit rapidement et avec joie, je vais d'ailleurs l'offrir à une personne que je connais qui a une très grande foi.
Pour moi, qui suis agnostique, je dois avouer que ce livre m'a demandé beaucoup d'efforts pour aller au delà de la croyance de l'auteur en Dieu, en la Bible, et entendre le message derrière. Il y a des très belles choses dans ce livre et Dieu n'est pas le seul cité, on retrouve également Martin Luther King, et d'autres, d'ailleurs Charles Peguy ouvre et clos ce livre. Je ne partage pas l'avis de l'auteur sur tout mais j'ai trouvé de belles choses dans ce livre.
Le livre, après un poème de Charles Peguy, va débuter sur une citation de Paul Ricoeur : « L'espérance vient à nous vêtue de haillons afin que nous lui confectionnons un habit de fête. ». Cette idée d'une espérance qui vient à nous sous une faible forme, petite, fragile et que c'est à nous que revient la tâche de l'entretenir, de la fortifier, de la nourrir est récurrente dans le livre. C'est un peu le fil rouge du livre : Dieu nous donne une étincelle, à nous d'en faire un brasier. Prends petit et fait grandir, on ne jette pas, on recommence.
En ce sens la couverture est vraiment bien faite, bien en accord avec le contenu du livre : on nous donne une graine, à nous de la faire pousser pour en faire un arbre. La couverture avec ce vert tendre, ce vert anis tout doux, a en son centre une main qui tient de la terre dans laquelle se dresse une jeune pousse. Au creux de la main l'espérance à faire grandir.
Je ne conseille pas ce livre pour des non croyants, j'ai eu le ressenti qu'il ne s'adressait pas à eux, par contre il est sûrement très bien pour les croyants.
Pour moi, qui suis agnostique, je dois avouer que ce livre m'a demandé beaucoup d'efforts pour aller au delà de la croyance de l'auteur en Dieu, en la Bible, et entendre le message derrière. Il y a des très belles choses dans ce livre et Dieu n'est pas le seul cité, on retrouve également Martin Luther King, et d'autres, d'ailleurs Charles Peguy ouvre et clos ce livre. Je ne partage pas l'avis de l'auteur sur tout mais j'ai trouvé de belles choses dans ce livre.
Le livre, après un poème de Charles Peguy, va débuter sur une citation de Paul Ricoeur : « L'espérance vient à nous vêtue de haillons afin que nous lui confectionnons un habit de fête. ». Cette idée d'une espérance qui vient à nous sous une faible forme, petite, fragile et que c'est à nous que revient la tâche de l'entretenir, de la fortifier, de la nourrir est récurrente dans le livre. C'est un peu le fil rouge du livre : Dieu nous donne une étincelle, à nous d'en faire un brasier. Prends petit et fait grandir, on ne jette pas, on recommence.
En ce sens la couverture est vraiment bien faite, bien en accord avec le contenu du livre : on nous donne une graine, à nous de la faire pousser pour en faire un arbre. La couverture avec ce vert tendre, ce vert anis tout doux, a en son centre une main qui tient de la terre dans laquelle se dresse une jeune pousse. Au creux de la main l'espérance à faire grandir.
Je ne conseille pas ce livre pour des non croyants, j'ai eu le ressenti qu'il ne s'adressait pas à eux, par contre il est sûrement très bien pour les croyants.
