Ronsard chante la femme, chante les femmes, qu'elles s'appellent Marie, Hélène ou Cassandre. Il parle de l'amour, aussi de l'acte d'amour physique. Et célébrer la beauté des femmes lui permet d'écrire. C'est précieux, instruit et pétri d'humanisme, avec une écriture ciselée. Alors il y a des nymphettes, des teints blancs, des joues roses, des belles poitrines, et un talent d'écrivain.
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