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Critique de Davalian
De l'aveu même de Don Rosa, ce deuxième volume consacré à la jeunesse de Picsou regroupe exclusivement des histoires spéciales, destinées à être lues en parallèle de la compilation précédente. Comment résister à cet argument et à l'achat d'un album ayant bénéficié d'une édition aussi soignée ?
Le choix a été fait de présenter les récits dans l'ordre chronologique, non pas de leur publication, mais en se référant à la vie du héros. Ce choix inspiré permet de faire facilement le lien avec l'album précédent. de nouveaux bonus nous attendent : principalement des couvertures, des dessins de collection (certains sont particulièrement réussis et justifieraient l'édition sous forme de posters ou d'ex-libris) et même des bustes qui ne sont d'ailleurs pas du fait de l'auteur. Les plus difficiles pourront reprocher que le coffre aux souvenirs aurait pu être valorisé davantage.
Le ton est donné avec Canards cents et destiné, qui grâce Miss Tick, nous permet de retourner en Écosse, de redécouvrir le tout jeune Picsou, à la manière de Retour vers le Futur II. Un grand moment ! le rêve de toute une vie, est tout aussi exceptionnelle, puisqu'elle revisite toutes les grandes étapes de la vie aventureuse de Picsou dans ses propres rêves, le tout en précédant Inception. le petit malin de la percée de Culebra est l'opportunité d'une nouvelle confrontation entre le protagoniste et Theodore Roosevelt au Panama : une belle réussite.
L'aventure du Cutter Sark, dans laquelle Don Rosa parvient à placer un avatar du capitaine Achab interprété par Gregory Peck tout en laissant court à son talent et à sa détermination en dessinant le fameux voilier. La plupart des récits sont consacrés ou inspirés de la période de Far West et du Ukon. le programme est riche : apparitions de véritables figures tutélaires telles que les Dalton, Geronimo, Butch, Kassidy et le Kid, Wyatt Earp… Goldie est également de la partie et le lecteur en saura enfin davantage sur une drôle de romance.
Même si tout cela a été écrit pour des enfants (ou des grand enfants) l'on ne peut qu'être surpris de la complexité des récits, des nombreux rebondissements, du potentiel de relecture, des références cinématographiques, des trésors et références habilement cachés ici et là. Et tout cela est le fait d'un seul homme, dont le talent n'est plus à prouver. Bref c'est toujours un plaisir de lire ces compilations que l'on doit à l'éditeur Glénat et à Don Rosa, même si l'on a passé l'âge longtemps : effet madeleine de Proust garanti !
Le choix a été fait de présenter les récits dans l'ordre chronologique, non pas de leur publication, mais en se référant à la vie du héros. Ce choix inspiré permet de faire facilement le lien avec l'album précédent. de nouveaux bonus nous attendent : principalement des couvertures, des dessins de collection (certains sont particulièrement réussis et justifieraient l'édition sous forme de posters ou d'ex-libris) et même des bustes qui ne sont d'ailleurs pas du fait de l'auteur. Les plus difficiles pourront reprocher que le coffre aux souvenirs aurait pu être valorisé davantage.
Le ton est donné avec Canards cents et destiné, qui grâce Miss Tick, nous permet de retourner en Écosse, de redécouvrir le tout jeune Picsou, à la manière de Retour vers le Futur II. Un grand moment ! le rêve de toute une vie, est tout aussi exceptionnelle, puisqu'elle revisite toutes les grandes étapes de la vie aventureuse de Picsou dans ses propres rêves, le tout en précédant Inception. le petit malin de la percée de Culebra est l'opportunité d'une nouvelle confrontation entre le protagoniste et Theodore Roosevelt au Panama : une belle réussite.
L'aventure du Cutter Sark, dans laquelle Don Rosa parvient à placer un avatar du capitaine Achab interprété par Gregory Peck tout en laissant court à son talent et à sa détermination en dessinant le fameux voilier. La plupart des récits sont consacrés ou inspirés de la période de Far West et du Ukon. le programme est riche : apparitions de véritables figures tutélaires telles que les Dalton, Geronimo, Butch, Kassidy et le Kid, Wyatt Earp… Goldie est également de la partie et le lecteur en saura enfin davantage sur une drôle de romance.
Même si tout cela a été écrit pour des enfants (ou des grand enfants) l'on ne peut qu'être surpris de la complexité des récits, des nombreux rebondissements, du potentiel de relecture, des références cinématographiques, des trésors et références habilement cachés ici et là. Et tout cela est le fait d'un seul homme, dont le talent n'est plus à prouver. Bref c'est toujours un plaisir de lire ces compilations que l'on doit à l'éditeur Glénat et à Don Rosa, même si l'on a passé l'âge longtemps : effet madeleine de Proust garanti !
