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Critique de Diabolau
Pour résumer en deux mots : quel bordel !
J'avais été plutôt convaincu par les premiers Thorgal à la mode Sente, qui pouvaient de toute façon difficilement être pires que les derniers à la mode Van Hamme, mais là, pfiou, celui-ci m'a plombé.
Entre un imbroglio d'intrigues embrouillées entre des personnages trop nombreux, une fluidité narrative gravement compromise (alors que c'était le gros fort de Rosinski) et quelques deus ex machina bien sentis (sacré coup de bol quand même que Thorgal ait sauvé pile poil la nana qui est au courant de toutes ces intrigues de palais qui ont eu lieu à Bagh Dadh depuis 25 ans, dont certaines que même le sultan n'est pas au courant, c'est dire !), sans compter un dessin en grosse baisse et qui devient par moment fouillis à cause de scènes de foules dessinées à l'aquarelle dans des cases trop petites, non franchement malgré les charmes de l'orient que la saga n'avait pas encore exploités à ce jour, j'ai du mal à trouver des arguments en faveur de cet album.
J'avais été plutôt convaincu par les premiers Thorgal à la mode Sente, qui pouvaient de toute façon difficilement être pires que les derniers à la mode Van Hamme, mais là, pfiou, celui-ci m'a plombé.
Entre un imbroglio d'intrigues embrouillées entre des personnages trop nombreux, une fluidité narrative gravement compromise (alors que c'était le gros fort de Rosinski) et quelques deus ex machina bien sentis (sacré coup de bol quand même que Thorgal ait sauvé pile poil la nana qui est au courant de toutes ces intrigues de palais qui ont eu lieu à Bagh Dadh depuis 25 ans, dont certaines que même le sultan n'est pas au courant, c'est dire !), sans compter un dessin en grosse baisse et qui devient par moment fouillis à cause de scènes de foules dessinées à l'aquarelle dans des cases trop petites, non franchement malgré les charmes de l'orient que la saga n'avait pas encore exploités à ce jour, j'ai du mal à trouver des arguments en faveur de cet album.
