Un ami me dit ( pour excuser voyages, conférences ): "On ne peut pas toujours voir le monde de son petit jardin" ( il en a un). Non, ce qu'il faudrait, c'est voir le monde dans son petit jardin. Ces "jardins de curé" envers lesquels je me sens plein de tendresse.
Je regarde le jour aux fenêtres. C'est l'activité à laquelle je me serai livré avec le plus de constance.
Pour habiter sa maison, il devait la reconstruire chaque matin.