Harry Potter, tome 4 : Harry Potter et la coupe de feu

Tome 4 : quatrième année d'Harry Potter à Poudlard.
Fastoche, au moins on ne risque pas de se perdre dans la chronologie de l'histoire.
Ce qui change fondamentalement dans ce tome c'est l'épaisseur du livre. Il fait quasiment le double des tomes précédents. À croire que J.K. Rowling a bu une potion de "confiance en soi" avant de l'écrire (ou qu'elle a réalisé que le succès des trois premiers tomes n'était pas dû à de la magie).
Mis à part la coupe du monde de quidditch qui nous montre que les sorciers sont d'aussi grands fanatiques sportifs que les moldus, je trouve que ce tome est plus triste et plus dur. le mal et la mort deviennent des choses concrètes.
D'ailleurs c'est la première fois que la fin n'est pas joyeuse mais plutôt angoissante pour les sorciers.
Il va forcément falloir que je lise la suite !

Ce tome de la saga marque un véritable tournant surtout à la fin. On entre enfin dans la partie noir de la saga d'Harry Potter.

Tout au long du roman, j'ai adoré découvrir les divers "jeux" et compétitions organisés entre les écoles. Déjà cela nous permet de voir qu'il existe d'autres écoles (dans les premiers tomes on a l'impression que seul Poudlard existe). Mais aussi différentes cultures même au sein de la magie. Chaque école à sa particularité.

La fin avec la mort de Cédric, marque la première vrai perte humaine dans le combat que mène Harry contre Vold*****, celui dont on ne doit pas prononcer le nom. C'est en refermant ce tome qu'on sait que la guerre va véritablement commencer.

Voici Harry en quatrième année et celui-ci connait la vérité à propos de Sirius Black. Ce tome est de loin mon préféré car il fait basculer Harry et ses amis dans le monde des grands. Si on fait un comparatif, les quatre premières années sont au niveau inférieur et la cinq, six et sept sont de niveau supérieur.

C'est l'année de la fête et de la compétition et à l'épaisseur de bouquin, nous comprenons qu'il va se passer de nouvelles choses tout comme cette année sera une année de cohabitation. En effet, Poudlard se voit accueillir deux nouvelles écoles pour participer à la coupe de feu. C'est d'ailleurs de bien belles fraternités qui arrivent là et qui tisseront des liens au fur et à mesure. On sent que l'auteur accorde beaucoup d'importance à ces valeurs universelles comme l'émulation, la fraternité et courage que l'on retrouve fortement marquée à la maison Griffondor même si l'auteure a avoué préférer Poufsoufle.

Je n'ai pas grand-chose à dire de nouveau à propos du travail de l'auteur. Si au précédent tome, j'avais été parfois stressé à propos des détraqueurs, ce quatrième tome m'a rendu un peu euphorique car il mise beaucoup sur le déplacement de soi. Les différentes épreuves que doivent subir les élus sont vraiment des plus initiatiques et forcent le courage, l'admiration et l'abnégation. J'ai particulièrement apprécié l'épreuve du labyrinthe car elle est celle qui force tout un chacun à faire face à soi-même et la peur de l'inconnu.

C'est un tome avec à nouveau pas mal de rebondissements, de surprises comme souvent, des nouvelles écoles avec des mentalités différentes, des visions différentes et des objectifs différents. Des nouveaux personnages font leur apparition ce qui donne une fameuse cacophonie au sein de Poudlard. Un livre que j'ai beaucoup apprécié sauf la fin lorsqu'un des personnages disparait.

J'ai passé un moment euphorique à la lecture de ce roman qui pour moi et de loin celui que je préfère des sept tomes de la saga.

Excellente suite au précédent tome qui amorçait un changement d'ambiance (moins enfantine) dans la saga, La Coupe de Feu parvient à remplir avec brio ses ambitions.
Tout commence sur une note de légèreté avec la Coupe du Monde de Quidditch à laquelle assistent les Weasley, Harry Potter et Hermione Granger et où l'on découvre un peu plus cet univers sportif largement évoqué dans la saga. Mais cet état d'esprit cède vite sa place à quelque chose de plus sombre. En effet, Harry va devoir affronter, au cours de cette nouvelle année à Poudlard, de nombreux évènement: il se met à faire d'étranges et réalistes cauchemars qui éveillent la souffrance de sa célèbre cicatrice; il se voit obligé de concourir dans le Tournoi des Trois Sorciers - compétition exceptionnellement réadaptée réunissant les trois écoles de sorcellerie les plus réputées au monde et se déroulant à Poudlard - dont les tâches à accomplir vont se révéler effrayantes et dangereuses; et, pour la première fois depuis quatre ans, son amitié avec son meilleur ami Ron va être mise à rudes épreuves...

Parler de mon ressenti envers ce roman en détails serait trop fastidieux, il y aurait tellement de points à aborder, d'autres à cacher; mais on peut dire que l'ensemble est incroyable et riche en nouveautés (on rencontre de nouveaux personnages, des créatures que l'on attendait de découvrir avec hâte, des univers inattendus...).
On s'intéresse plus en détails au sort réservé aux elfes de maisons, comme Dobby ou Winky, qu'Hermione va s'acharner à vouloir aider et affranchir sans grand succès, pendant qu'on entrevoient les prémices d'une jalousie (le revirement d'opinion de Ron envers Victor Krum est délicieux à lire).
Comme je le dis, il y a de nouveaux personnages, en grand nombre, qui ont une importance à des degrés différents: Ludo Verpey - Directeur du Département des Jeux et Sports Magiques - à l'enthousiasme bien trop développé pour être sincère; Rita Skeeter - exécrable journaliste - experte dans l'art de fouiner et de déformer les propos d'autrui, font par exemple partie de ces personnages que j'ai jugé irritables et dont je me serai bien passé, mais qui sont néanmoins nécessaires à l'intrigue. A contrario, on (re)découvre avec curiosité, suspicion ou optimisme, certaines autres personnes: le nouveau professeur de Défenses contre les Forces du Mal, Alastor Maugrey, dit Fol'Oeil, qui impressionne et intrigue; les élèves (malheureusement caricaturés) des deux écoles étrangères (je trouve d'ailleurs vraiment dommage que le sujet de la sorcellerie à travers le monde ne soit pas mieux exploité dans la saga, mais cela aurait peut-être été trop lourd... Je ne sais pas.) - Beauxbâtons et Durmstrang - participant au Tournoi des Trois Sorciers; les deux frères de Ron (enfin !) que nous n'avions pas encore eus l'occasion de rencontrer; la réapparition de Sirius...
Mais l'abondance de ses nouveaux venus (pour certains) n'est rien comparé à cette ambiance oppressante et étrange que j'ai évoquée. On est plongé dans une atmosphère déconcertante, voguant entre le stress, le découragement, la tristesse, l'espoir, la peur... Et finalement, cela en fait une lecture éprouvante (dans le bon sens du terme) car l'on ressent ce que vit Harry, on est plongé dans l'histoire, c'est vraiment très intéressant. le suspens est maîtrisé et l'attente du dénouement fait que l'on a les nerfs à fleur de peau...
Un quatrième tome captivant que j'ai beaucoup aimé !
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Nous voilà plongé dans le quatrième tome d'Harry Potter, et le moins que je puisse dire, c'est que l'univers s'assombrit encore plus dans ce roman.

Harry Potter assiste à la coupe du monde de Quiditch et en marge de celle-ci des événements se produisent et semblent lier à celui dont on ne doit pas prononcer le nom. Et Harry fait sa rentrée en quatrième année à Poudlard. Cette année, une compétition exceptionnelle va renaitre de ces cendres, il s'agit du tournoi des Trois Sorciers. C'est une compétition qui oppose les trois meilleurs élèves de trois écoles de magie.

Comme je le disais, ce tome voit un univers assez sombre s'installer de manière permanente semble-t-il avec l'ombre de Voldemort qui plane au-dessus de ça. On se rend compte tout n'est pas fini avec lui.

J'ai trouvé le comportement d'Harry très courageux par rapport à tous ce qu'il va vivre en particulier à la fin du livre à la fin du Tournoi.

J'ai été surprise par contre du comportement de Ron pendant une partie de ce roman, malgré les explications qui sont données. Un ami reste un ami quoi qu'il arrive. Il y a aussi Hermione qui m'a surprise, elle cache bien ses secrets, sous sa façade d'intello se cache une jeune fille comme les autres. J'ai aussi découvert que c'est une jeune fille qui a des convictions et qui est prête à les défendre coûte que coûte. Et les autres personnages restent eux même, que ce soit Hagrid, Dumbledore ou Rogue.

C'est un roman assez riche en rebondissements tout au long de cette année scolaire à Poudlard, les rebondissements se mêlent à la vie quotidienne de l'école. Avec l'apparition d'un nouveau professeur de défense contre les forces du mal comme chaque année. Et cette année encore, ce professeur amènera son lot de surprises.

Mais je dois dire que le comportement du ministre de la magie m'a plus que surprise. Comme peut-il nier l'évidence à ce point ? Son comportement risque de porter préjudice à tous les sorciers.

En tout cas, ces derniers événements me donnent encore plus de lire la suite de cette saga.
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J'appréhendais un peu la relecture de ce quatrième tome, ayant l'impression de connaître l'histoire par coeur, essentiellement à cause du film, que j'ai vu de nombreuses fois.
En définitive, j'ai redécouvert plein de détails dont je ne me souvenais plus, qui m'ont permis de passer à nouveau un excellent moment de lecture.

Retrouver l'univers d'Harry Potter, ses lieux, ses personnages, est donc toujours un vrai plaisir. La présence des autres écoles et les épreuves du Tournoi des Trois Sorciers dynamisent l'histoire.

Et puis, on s'abreuve de jus de citrouille, de bièraubeurre, de festins préparés par de pauvres elfes de maison dont seule Hermione semble se préoccuper. On prend soin des Scroutts à pétard, ne sont-ils pas mignons? Aïe, ça brûle!
On regarde la plume à papotte de Rita Skeetter avec un certain dégoût, on prend notre dose de magie, de sortilèges en tout genre et on s'apitoie un peu sur le sort d'Harry, vu tout ce qu'il endure.

La menace Voldemort plane, prend de l'ampleur dans ce tome et l'avenir s'annonce bien sombre.
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Tout simplement un excellent cru mené parfaitement dans sa rythmique et son contenu par l'auteur qui rend étonnement digeste une bien lourde brique.

Déjà, nos héros gagnent enfin en épaisseur, la lutte n'est pas gagnée mais dans leurs hésitations, leur frustrations, on voit poindre un début de crédibilité et profondeur bienvenue, entre une Hermione séduisante, ou un Ron frustré de sa propre figuration.

À travers le tournoi, Rowling retranscrit mieux que jamais le sentiment d'année scolaire qui s'écoule, et cumule de l'action classe à une intrigue de fond riche en faux semblant digne du livre 2 tout multipliant les clins d'oeil et les références aux précédents tomes, le tout étant intensément crédible.

Même si les explications finales arrivent toutes en même temps et sont donc assez lourdes et pesantes, elles font surtout entrer la série vers un tournant plus nature et amer, le fameux carrefour est franchi et la série devient d'une autre saveur ...

En bref, une vraie réussite dans le rythme, la caractérisation des personnages, les révélations : un enchantement !

9.2/10

Je pense pouvoir dire que ce tome est mon préféré. J'ai lu la série des Harry Potter il y a dix ans et c'est ce volume qui me laisse le plus de souvenir. Nous entrions cette fois dans un univers différent de celui auquel l'auteure nous avait habitué, un schéma plus saccadé, une ambiance plus sombre, un avenir incertain pour les personnages, tout cela donnait une nouvelle dimension à l'histoire qui a rendu à mes yeux cette saga encore plus intéressante.

Un de tomes le plus riche de la serie. Comme d'habitude, on est happé par la densité de l'intrigue, une inventité riche précisément décrit. En parallèle, Harry murit , touché par la présence féminine. J'ai trouve le denouement violent, triste, intense qui laisse place à bcp de scénarios possibles. je l'ai devoré

L'ennui de cette histoire se poursuit pour moi.
Le personnage d'Harry Potter m'exaspère au possible ! Il n'a jamais aucune envie, traine sa nonchalance et sa déprime pendant des semaines avant de recevoir un « coup de pied au cul » et se bouger enfin pour agir… que serait-il sans son entourage ?
Est-ce là tout le suspens auquel à droit le lecteur ? Attendre que le personnage daigne enfin agir ? sans compter que de toute façon il trouvera la solution au problème soit par hasard soit soufflé à l'oreille par une âme charitable… Toujours aucune surprise pour ma part, la même déception persistante !
La qualité littéraire du texte reste très basique. Et que de répétitions encore ! cette fois, à la fin de l'ouvrage. Deux chapitres pour redire ce que nous venions de lire… comme si nous n'avions pas compris ? Ce n'est pas une oeuvre si complexe que ça !
Heureusement le talent de Bernard Giraudeau donne une saveur particulière et tout mon plaisir est encore une fois de l'écouter composer les diverses voix et accents des personnages. Les secondaires sont les plus amusants, l'acteur-lecteur parvient à leur donner corps dès les premiers mots prononcés, lorsqu'on retrouve une intonation, une diction, un accent singulier.