Avec «
La princesse au petit moi »,
Jean Christophe Rufin poursuit les aventures d'Aurel Timescu, anti-héros et enquêteur « malgré lui ». La souveraine de la Principauté de Starkenbach , micro-état européen, a disparu. Aurel Timescu est missionné pour la retrouver. le personnage paraît surgir de bandes dessinées ; il est maladroit, gaffeur, en total décalage avec les moeurs d'une cour princière. Soutenu par le vin Tokay, et la pratique du piano-bar, il est emporté par l'intrigue et les évènements. Guidé par une collaboratrice de la princesse, il démêle les fils d'une affaire d'état. L'humour, les situations cocasses donnent un ton plaisant au roman. Les références aux us et coutumes de petits états européens voisins ne manquent pas. Mais l'histoire suit un schéma narratif peu original ; divertissant, sans plus….
Commenter  J’apprécie         60