Au début, lorsqu'Albert raconte son histoire, on soupire, on se dit qu'Albert est vraiment un imbécile, et on le voit venir avec ses gros sabots. On en veut un peu à l'auteur de faire traîner cette histoire. On imagine déjà un livre qui va se traîner péniblement jusqu'à une fin sans saveur.
On est d'autant plus surpris de ce qui se passe lorsqu'Albert et Steve se rendent à la maison de Jennifer.
Au fur et à mesure des événements, on découvre que tout n'est pas si simple. On commence par être complètement perdu, par ne plus rien comprendre. Ici, l'auteur nous a bien eus. Il commence par une histoire aux allures banales pour mieux nous surprendre.
Ensuite, on se rend bien compte que quelque chose se trame contre l'un des personnages. Au bout d'un moment, on a peur de retomber dans la routine des polars classiques, car on a deviné qui en veut à qui, et on attend...
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