Citations sur À ton nom (24)
Un jour viendra, nous aurons des rêves à nouveau. Et le cœur vierge de tout passé nous ouvrirons les yeux sur un monde nouveau.
"On a tous pleuré dans les yeux d'une blonde. On a tous gueulé qu'on changerait le monde. On a tous chanté autour du même feu: "On est tous des frères"."
A la lumière obscure
Je te croise enfin
Mon Dieu que tu es belle
Toi la seule toi l'ultime
Entre les hommes égalité
S'il te plait prends ma main
Ne te fais plus attendre
Il est temps de s'étreindre
De s'éteindre
Une dernière cigarette
Les guerriers de la route avaient pourtant prédit
La mort ou la naissance
Ca dépend du cœur
Au soleil qui s'incline
Allez finissons en
Et laissons s'accomplir le firmament
Plongé dans l'infini dans le gouffre sacré
De Katagena
Me noyer à jamais
Et puis quitter ce monde sans pudeur ni morale
Jveux qu'on baise sur ma tombe
Jveux qu'on baise sur ma tombe
Que la grâce s'accomplisse
Immortelle jouissance
Que les femmes s'unissent dans un parfait accord
Rien que pour un instant
L'éphémère devienne
Eternité
J'aurais aimé t'aimer
Comme on aime le soleil
Te dire que le monde est beau
Que c'est beau d'aimer
J'aurais aimer t'écrire
Le plus beau des poèmes
Et construire un empire
Juste pour ton sourire
Devenir le soleil
Pour sécher tes sanglots
Et faire battre le ciel
Pour un futur plus beau
Mais c'est plus fort que moi
Tu vois je n'y peux rien
Ce monde n'est pas pour moi
Ce monde n'est pas le mien
Au revoir mes amis
Au revoir mes frères
Au revoir mon pays
A nous deux la lumière
Au revoir Franckie
Au revoir les printemps
Au revoir pauvre monde
A nous deux satan
Au revoir mes amis
Au revoir mes frères
Au revoir mon pays
A nous deux la lumière.
Je ne connais pas de pire dictature que celle de la communication comme on l'entend aujourd'hui.
"C'est vrai il y a eu une génération où le voyage faisait partie d'une réelle initiation à la vie, le passage de l'adolescence à la vie d'homme. Mais pour nous, rien. Ah si, j'oubliais: la première capote. Ca a été notre initiation à nous."
Quand je pense qu'on fait gagner des millions chaque semaines à la télé alors que la science manque de moyens pour permettre aux jeunes de s'unir à nouveau sans test ou bout de caoutchouc, quand je pense à leurs jeux de merde et à l'Afrique qu'on laisse crever en silence parce que soigner les pauvres ça ne rapporte pas, [...] le sida termine son travail en Afrique, mais dites-moi "Qui veut gagner des millions ? " ça me fout la gerbe et j'ai honte d'être un homme.
Tu sais, Toi qui fais construire des églises, des mosquées, des temples...Tu pourrais réfléchir parfois. de toute façon Tu comprends rien, T'es nul, j'en ai marre de Te parler tous les jours, Tu T'en fous, pauvre égoïste. Après tant d'années à Te parler du matin au soir Tu sais toujours pas aligner trois mots. Fais attention ! Un jour je ne serai plus là et Toi Tu seras tout seul. Faudra pas pleurer parce que sans moi T'es rien Tu sais. Je le jure, un jour je partirai, et quand je partirai, Tu verras la solitude.
On ne m'a donné ni arme ni larmes à mes yeux
Que ce cheval d'acier noir et ce corps sans visage
J'ai l'âme de l'enfant et la mémoire du vieux
L'éternité, c'est long quand on marche sans coeur
Je suis le cavalier sans tête
Et je cherche un amour
Au travers des tempêtes
Moi, je cherche le jour
Moi, je cherche la flamme
Qui viendra m'éclairer
L'âme
Du haut de ma monture, sur des escaliers de brumes
J'entends le cri des hommes qui ont perdu l'amour
Alors, j'envie soudain ceux qui ont larme à l'oeil
Qui pleurent l'océan à se noyer dedans
Celui qui m'a fait, voulant faire de moi l'immortel
Invincible, il a fait l'armure mais il a oublié le coeur
Puisqu'on a fait mon âme dans un acier linceul
C'est de l'humain tout entier dont moi je porte le deuil
Au hasard des cités, ami, parfois je rêve
De croiser sur la route une femme à deux coeurs
Qui juste par amour partagerait son être
Mettre un peu de mortel à ma triste éternelle
Je suis le cavalier sans tête
Et je cherche un amour
Au travers des tempêtes
Moi, je cherche le jour
Moi, je cherche la flamme
Qui viendra m'éclairer
L'âme
Encore un jour se lève sur la planète France
Et je sors doucement des mes rêves, je rentre dans la danse
Comme toujours il est 8h du soir, j'ai dormi tout le jour
Je me suis encore couché trop tard, je me suis rendu sourd encore
Encore une soirée où la jeunesse France
Encore elle va bien s'amuser puisqu'ici rien n'a de sens
Alors on va danser, faire semblant d'être heureux
Pour aller gentiment se coucher, mais demain rien n'ira mieux
Puisqu'on est jeune et con
Puisqu'ils sont vieux et fous
Puisque des hommes crèvent sous les ponts
Mais ce monde s'en fout
Puisqu'on est que des pions
Contents d'être à genoux
Puisque je sais qu'un jour nous gagnerons à devenir fous, devenir fous
Encore un jour se lève sur la planète France
Mais j'ai depuis longtemps perdu mes rêves, je connais trop la danse
Comme toujours il est 8h du soir, j'ai dormi tout le jour
Mais je sais qu'on est quelques milliards à chercher l'amour encore
Encore une soirée où la jeunesse France
Encore elle va bien s'amuser dans cet état d'urgence
Alors elle va danser, faire semblant d'exister
Qui sait si l'on ferme les yeux, on vivra vieux
Puisqu'on est jeune et con
Puisqu'ils sont vieux et fous
Puisque des hommes crèvent sous les ponts
Mais ce monde s'en fout
Puisqu'on est que des pions
Contents d'être à genoux
Puisque je sais qu'un jour nous nous aimerons comme des fous, comme des fous
Contre la vie qui va qui vient puis qui s'éteint
Contre l'amour qu'on prend qu'on tient mais qui tient pas,
Contre la trace qui s'efface au derrière de soi,
Jeunesse lève-toi.
Moi contre ton épaule je repars à la lutte
Contre les gravités qui nous mènent à la chute
Pour faire du bruit encore à réveiller les morts
Pour redonner éclat à l'émeraude en toi
Pour rendre au crépuscule la beauté des aurores
Dis moi qu'on brûle encore dis-moi que brûle encore
Cet espoir que tu tiens parce que tu n'en sais rien
De la fougue et du feu que je vois dans tes yeux
Jeunesse lève toi
Au clair de lune indien toujours surfer la vague
A l'âme au creux des reins faut aiguiser la lame
Puisqu'ici il n'y a qu'au combat qu'on est libre
De ton triste sommeil, je t'en prie libère-toi
Puisqu'ici il faut faire des bilans et du chiffre
Sont nos amours toujours au bord du précipice
N'entends-tu pas ce soir chanter le chant des morts
Ne vois tu pas le ciel à la portée des doigts ?
Jeunesse lève toi
Contre la vie qui va qui vient puis qui nous perd
Contre l'amour qu'on prend qu'on tient puis qu'on enterre
Contre la trace qui s'efface au derrière de soi
Jeunesse lève toi
Jeunesse lève toi