Kô: Je t'ai déjà dit que tu devais te méfier des garçons... sinon qui sait ce qui pourrait t'arriver.
Futaba: Mais toi, Kô... tu ne vas rien me faire, n'est-ce pas?
Kô: Même avec moi, on ne sait jamais.
Kô: Mets un yukata... ce jour-là. Je veux te voir en porter un.
Tôma: Sincèrement beaucoup de garçons pourraient embrasser une fille par curiosité ou parce qu'ils sont emportés par l'ambiance sans être amoureux.
Futaba: (même s'ils ne sont pas amoureux.) Ah bon!
Tôma: Oh! ce n'est pas le cas de tout le monde. Il y a également des garçons qui pensent qu'il ne faut embrasser que la fille dont on est amoureux. C'est mon cas aussi.
Futaba: C'est sûr il y a des personnes qui peuvent le faire et d'autre non. C'est évident.
Tôma: (Elle n'a pas compris mon message)
Futaba; désolée de t'avoir posé cette question stupide. Oublie ce que j'ai dit.
...: Et toi, Mabuchi, tu en es où de ce côté-là?
Kô: De quoi tu parles?
...: Y a pas une fille qui t'intéresse?
Kô: Heu... non... pas spécialement.
...: Hum? Il y en a une qui t'intéresse dans la classe?
Kô: !
...: Sérieux?
Kô: Mais non!
Futaba: Ah... si je portais un yukata ce jour-là? Comme je n'ai pas pu en mettre un aujourd'hui.
Kô: Si tu portais un yukata, tu auras l'air d'un sumo, non?
Futaba: Hé! Ce n'est pas sympa! Excuse-toi!
Kô: Aïe! Ne me frappe pas avec ta patte avant! Groin Groin!
Futaba: Ma patte avant?! Qu'est-ce que tu as dit?!
Futaba: ça veut dire qu'on irait tous les deux?
Kô: Si tu n'en as pas envie, ce n'est pas grave.
Futaba: Je viens!! Je veux y aller!!
Kô: Dans ce cas, il faut le dire dès le début. Idiote.
Futaba: Oui.
C’est douter et réfléchir qui fait évoluer. Alors si tu oscilles entre force et faiblesse, Yoshioka, c’est parce que tu es en train de changer, me semble-t-il.
Cette nuit-là, entre Kô et moi, il ne restait plus qu'un millimètre de distance. Aujourd'hui, j'aimerais que ce soit toujours le cas.
« C'est douter et réfléchir qui fait évoluer. »