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3,88

sur 1516 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Voilà un roman qui est arrivé dans une période de ma vie un peu particulière. Pour deux raisons : La première étant que j'ai perdu ma vieille Lili, ma chatte, en octobre dernier; lire un tel récit allait m'être difficile. Ensuite, pendant ma lecture, j'ai été confronté a un séisme familial, mon frère aîné étant décédé en février.

La lecture est mon moteur, ma passion, mon envie quotidienne, je savais que ce livre allait certainement être compliqué après la perte de ma chatte mais, la mort de mon frangin a ébranlé ma faculté à me concentrer sur une lecture. Voilà pourquoi je n'ai rien publié en terme de chroniques, ces derniers temps.

L'explication qui me tenait à coeur étant faite, allons à la chronique: Ce roman m'a un peu décontenancé de par son style, ses tournures de phrases, une sorte de prose stylistique qui, au début, comme une des autres lectrices que j'ai lue sur Babelio, m'a fait m'interroger sur ma capacité à encore pouvoir lire.... Avais-je un souci cérébral? Non, l'auteur, je trouve, use d'une sorte d'inversion du sujet et du verbe qui fait que l'on se surprend à devoir relire la phrase pour arriver à comprendre. Dans le contexte que j'explique au dessus, ce n'était pas pour m'aider.

Ce que je cherchais, ou croyais trouver du moins, c'était une belle histoire de vie commune entre un maître et son chien, des similitudes qui m'auraient aidé à mieux comprendre ma peine après la perte de ma Lili, mais... le récit était sympa oui, mais ne méritait pas l'encensement qui en a été fait. C'est l'histoire banale d'un homme qui achète un chiot après en avoir déjà eu quelques-uns, un récit qui explique quelques étapes de sa vie avec lui et sa mort. Là, je croyais trouver de l'aide, du soutien quant aux réactions après la perte d'un compagnon de vie silencieux. Il n'en fut rien... Moi qui ai un jardin modeste j'ai repris mon chat et l'ai enterrée chez moi, l'auteur lui, laisse son animal de compagnie, son fidèle compagnon si bien décrit et tant aimé tout au long du livre, chez le véto? Il ne vit pourtant pas en appartement.

Alors voilà, bravo pour la tentative mais je ne me laisserai plus tenter à l'avenir par d'autres ouvrages de l'auteur. En ce qui me concerne, personne n'égale Jack London pour parler des animaux, de la nature, des relations entre les hommes et la faune.
Lien : https://lesmotsricochent.blo..
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Au risque d'aller à contre courant sur ce roman je prends.
Le récit d'un grand amour entre 4 pattes et son maître pour de grandes émotions d'une lecture à ressentir.
Complément, verbe, groupe sujet ? Remettez les phrases à l'endroit !
C'est pourtant ainsi tout le long de ce roman...
Bref une lourdeur de style, assez "ampoulé", trop alambiqué, aucune fluidité ce qui m'a gêné pour la lecture et l'appropriation de cette histoire.
De cette plume je ne retiens que la complexité. Et de l'histoire pas grand chose non plus du fait de cette lecture subit !
Une écriture soutenue n'est pas désagréable, mais ici, c'est trop. Entre du vocabulaire parfois savamment trouvé et le sens des phrases à comprendre après lecture et relecture, tout cela pour un sujet d'une grande simplicité, c'est perturbant et bien trop gênant pour apprécier.
C'est dommage car le fond est une belle histoire entre un chien et son maître. Encore que certaines situations me paraissent un peu trop "kitch" .
Bref une véritable déception alors que j'en attendais une histoire touchante et agréable à lire.
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Un livre que j'apprehendais tant j'aime les animaux et les histoires telles que celle ci me touche au plus profond ! Mais quelle déception lorsque dès les premiers mots j'ai parfois eu le besoin de "réfléchir" Pour assimiler une phrase ! Pourquoi tant de poésie sur une histoire d'amour si simple et inconditionnelle que celle d'un Homme et de son chien ?
J'ai eu beaucoup de difficultés à le terminer... Je n'ai pas réussi à trouver l'émotions avec ce vocabulaire trop soutenu à mon goût ! Je n'ai pas réussi à m'attacher à cet homme, et y sentir son chagrin. Pour sûr j'ai aimé ubac &#xNaN malheureusement l'écriture du récit a tout gâché pour moi... Dommage !
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Ce livre promettait une histoire simple et touchante entre un homme et son chien. Cependant, la complexité des phrases m'a complètement égaré. J'ai eu du mal à me connecter avec l'histoire à cause de sa lourdeur. Malgré quelques moments émouvants, la difficulté de lecture a rendu l'expérience décevante
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Pourquoi une si petite note ? Pour compenser les notes dithyrambiques dispensées ça et là sur cet ouvrage. La dernière partie du livre est assez belle, sur le départ de ce Bouvier bernois que nous avons suivi dans la montagne, à l'arrière de la voiture, chez les commerçants, en classe. Sur le deuil impossible des autres animaux, qui ne peuvent que subir. Des pages sensibles, délicates. Des pages que nous aurions aimé lire dès le début car MON DIEU que ces premiers chapitres sont pénibles. Il est incompréhensible que Cédric Sapin-Dufour reçoive un tel accueil quand on doit stopper la lecture à chaque page pour cause de phrase intentionnellement alambiquée, ou de vocabulaire authentiquement abscons. Pourquoi ? Pourquoi ? Pourquoi ? L'auteur voulait-il réserver le Graal du coeur de récit à une élite ? Ne savait-il pas comment aborder son récit ? Voulait-il nous dire qu'avant d'avoir son chien, il n'était que stupidement un homme ? Je ne sais pas, mais c'est littéralement odieux à lire (et je pèse mes mots). D'autant qu'au fil du récit, l'auteur égrène ses jugements sur les autres propriétaires de chiens. Ce manque d'humilité paradoxal, alors qu'il nous jure ses grands dieux qu'avoir un chien le ramène à l'essentiel, m'a heurtée tout au long du récit. Persévérer dans la lecture vous permettra d'aborder un rivage plus agréable, bien plus agréable que ne l'est l'auteur. Bon courage.
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Un tel panégyrique pour un chien, c'est proprement exceptionnel, inouï et démesuré. N'en jetez plus, il y a overdose, indigestion !
Le livre a tellement été encensé que j'ai voulu aller jusqu'à la fin, malgré tout (lecture rapide, heureusement !)
On a souvent l'impression que l'auteur cherche à faire du style, à s'essayer à un humour d'initiés maîtres de chien et à trouver des jeux de mots. Tout cela allonge inutilement ce bouquin dont je me contenterais de la moitié, et encore !
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Moi qui aime mes chiens plus que tout au monde, l'un d'eux étant un Bouvier Bernois, je pensais que j'allais adorer ce livre, une ode à l'amour des chiens et du lien qu'on crée avec eux. Même peut-être verser ma petite larme.
Malheureusement, bien que le fond de ce livre soit magnifique, la forme, en revanche, m'a empêché d'apprécier ma lecture. Une écriture plus simple m'aurait permis de ressentir beaucoup plus d'émotions.
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Une étoile car l'introduction a confirmé mon impatiente envie de lire ce livre dont j'avais tant entendu parlé en positif; malheureusement, cela a été la seule partie du livre que j'ai aimée et ce même si je mets une deuxième étoile.

Cette deuxième étoile n'est là que parce que j'ai tellement aimé l'idée de ce livre dédié à un chien qu'on a aimé et pfffff.... non, ce ne sera que l'idée qui était formidable car c'est un texte pompeux; j'ai eu l'impression que l'auteur a rempli des pages pour remplir des pages de belles phrases avec Ubac comme thème.

Ceci dit, je ne doute pas que ce chien a été aimé, que lui et son compagnon humain ont passé de merveilleuses années ensemble et que certaines idées d'éducation de Ubac sont très bonnes mais soit: tout ça, pour ça, je ne suis pas convaincue, vraiment pas convaincue.

Je suis peut-être passé à côté du livre mais c'est sans regret que je l'abandonne et que je préfère me rappeler mes souvenirs avec mes chiens et retrouver les bien vivants que j'ai encore le bonheur de rencontrer avec leurs merveilleuses odeurs après la pluie .

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Malheureusement le style d'écriture ne me correspond pas. Les tournures de phrases sont trop complexes, rendant la lecture difficile. Les détails sont développés à n'en plus finir. La lecture est lourde et n'avance pas.

Dommage car l'histoire paraît jolie et poétique. Mais visiblement elle n'est pas pour moi.
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Voici une lecture qui m'a été recommandée sans atteindre son but !
En effet je déplore le place surdimensionnée que prennent les animaux de compagnie dans notre société. On en arrive à des excès ridicules, égoïstes, au détriment des animaux parfois. Et que l'on ne vienne pas me dire que je n'aime pas les animaux car bien souvent les personnes dans l'excès ont du mépris pour ceux qui ne fonctionnent pas comme eux.
Dans ce livre, on a tout le panel de ce que je déplore et qui m'a ennuyé et agacé au plus haut point.
En ce qui concerne l'écriture, elle est effectivement ampoulée, comme cela est déjà dit dans plusieurs critiques, avec ces mots savants que l'on trouve régulièrement pour nous démontrer on ne sait quoi.
Bref, quelques heures de lecture inutiles, perdues !
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