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sur 1436 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Pinpin tombe sous le coup de quelques mots d'une annonce de journal : des chiots bouviers bernois en vente. Comment résister ? La suite est une histoire d'amour entre un homme et un chien, une histoire un peu semblable à la mienne, celle avec ma chienne depuis un peu plus de trois ans.
Plus que l'histoire elle-même , c'est la prose singulière et enchanteresse saupoudrée d'humour de Sapin-Defour qui rend ce livre délicat et émouvant. Pourtant il n'est pas vraiment poète, ses réflexions et ses ressentis sont très terre à terre mais étrangement il a toujours les mots justes pour les exprimer , et la composition phrasée de ses mots est surprenante et plaisante. Une prose naturelle, singulière, imagée, qui rend une histoire au fond courante , la vie tout simplement d'un homme avec son chien, passionnante . Un texte pudique qu'accompagnent de très belles réflexions sur nos sensibilités perdues que notre cohabitation avec les animaux aident à raviver, “Ce chien me réapprend à lire le vivant autour, à écouter les musiques de la nature, ses amplitudes, ses respirations, à mesurer ses états, à déchiffrer ses codes.”
Très touchant aussi la solidarité du trio de chiens, Pinpin ajoutant au Bouvier bernois deux autres, dont un labrador et l'autre sa fille.
Un monde magique, magnifique, un amour illimité qu'on partage avec eux quand on les aime , le tout un texte bouleversant avec une fin d'une tristesse et beauté infinies. Sapin-Defour est un homme émouvant dont l'espèce sur cette terre est en voie de disparition , un écrivain à suivre dans ses pérégrinations à travers La Vie.


« …. à quoi bon la vie si ce n'est un peu la manoeuvrer. »

Merci infiniment aux Éditions Stock et NetGalleyFrance pour l'envoie de ce livre magnifique !

#Sonodeuraprèslapluie #NetGalleyFrance
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C'est tout d'abord la magnifique couverture en noir et blanc qui m'a séduite, puis ce beau titre qui laisse deviner la douceur et la beauté du texte.
Mais je suis bien embêtée à l'heure d'écrire ce billet, c'est souvent le cas lorsque je suis particulièrement touchée et émue par un livre. J'ai reculé ce moment pour prendre de la distance et pouvoir poser mes mots sur les émotions qui m'ont submergée à cette lecture. C'est sûrement parce que j'ai eu des animaux de compagnie, parce que j'ai aujourd'hui Maya, un chat qui réapprend à refaire confiance aux hommes après avoir été maltraité.

Lorsque l'on choisit de faire un bout de chemin avec un animal qui a une espérance de vie moindre que la notre, on accepte aussi bien les bons côtés que la fin de cette relation, inéluctable et douloureuse. Je sais qu'un jour je pleurerai à nouveau, que je mettrai du temps à m'en remettre, qu'il restera toujours en moi un petit pincement douloureux, mais ma vie ne peut se passer de la tendresse et de la proximité d'un animal.

« Prendre un chien, c'est accueillir un amour immarcescible, on ne se sépare jamais, la vie s'en charge, les déclins sont illusoires et les fins insoutenables. Prendre un chien, c'est se saisir d'un être de passage, s'engager pour une vie ample, certainement heureuse, irrémédiablement triste, économe en rien. L'issue de cette union ne fait aucun mystère, s'abandonner à la refuser ou n'entreprendre que de l'envisager, dans les deux cas, la tristesse rôde, rudoie et c'est une drôle de danse, roulis de chaque jour, pour que la joie prenne le pas, relègue cette évidence et l'étouffe. »

Beaucoup ne comprendront pas que l'on puisse pleurer un animal de compagnie, que sa mort puisse être un déchirement, qu'il faille du temps pour calmer sa peine, faire son deuil. D'autres, tout aussi nombreux je l'espère, comprendront mes mots, ceux de l'auteur.
Son amour pour son chien se ressent dans chaque ligne. Cédric Sapin-Defour a trouvé les mots pour parler de l'amour que l'on peut ressentir pour son chien. Il a trouvé la sensibilité et la justesse du ton pour évoquer la perte et le deuil.

*
C'est une belle histoire que l'auteur nous raconte. Une histoire de rencontre, d'amitié, de liens indéfectibles, d'amour.
Cette histoire commence par un rencontre un peu magique, magnifiquement décrite. Ubac est arrivé dans sa vie avec déjà la franchise et l'attention fixées au fond de ses yeux. Lorsque leurs deux regards se sont croisés, il n'a fait aucun doute que cette petite boule de poils était le compagnon qu'il recherchait. C'est un amour immédiat, inconditionnel, et puissant.

« Ce chien ne me lâchera jamais de son oeil attentif et je sais que par ces lucarnes de l'âme, au-delà de voir, il regardait et savait tout de moi dont ce que je m'efforçais à rendre invisible. »

Le sourire aux lèvres, j'y ai vu un miroir de ma propre rencontre avec Maya car je suis persuadée qu'elle m'a choisie, et non l'inverse. Les mots de l'auteur sont entrés en résonnance avec ma vie, mes pensées et ma conception de la vie.
L'auteur dresse un portrait d'Ubac rempli d'émotions, tout en respectant son animalité et en ne tombant jamais dans l'anthropomorphisme. Je me suis sentie proche d'Ubac et si cet attachement est unique et ne me concerne en rien, je l'ai aimé à travers les mots de l'auteur.

*
La vie, avec ses sacs et ses ressacs, est mouvante, versatile. Elle navigue entre quiétude et douleur, gaieté et inquiétude, joies et silences, présence chaleureuse et vide profond.

« .. il semblerait qu'il n'y ait pas de droit durable au bonheur sans s'acquitter de quelques rançons. »

Ainsi, ce roman, parsemé d'anecdotes, s'articule autour de moments partagés, de souvenirs heureux, de joie, d'insouciance et d'intermèdes tristes, douloureux où l'on prend conscience que la vie à deux a une finitude... Jusqu'au moment tant redouté où il est temps de faire ses adieux.

J'ai aimé l'intimité et la franchise de ces pages, le lien subtil et profond entre l'homme et son chien, sa vision du monde dans laquelle l'animal est respecté. C'est un récit qui ne ment pas.
L'écriture est magnifique, sensible, sertie de phrases poétiques d'une incroyable douceur. Combien de phrases j'ai surlignées !

« Je t'exprime cela du bout des lèvres mon chien, ne pense pas appesantir ma vie, tu l'as tellement délestée, la balance est indéfiniment en ta faveur. »

*
Par ses moments de partage où l'homme apprend de l'animal, l'auteur questionne sur notre rapport au temps et à la nature, sur ce lien que nous tissons avec les êtres vivants, sur la quête de sens et bien sûr sur l'amour, le deuil et la résilience.

« … aimer sans certitude de l'être en retour… je me demande si l'on ne tient pas ici la définition de l'amour véritable. »

Ubac est un guide, un éclaireur. Il redessine la vie avec de nouveaux angles, de nouveaux chemins, de nouvelles priorités. Il apaise la solitude et saisit l'instant présent.

« Ne rêvez plus votre vie, vivez vos rêves. »

*
Pour conclure, "Son Odeur après la Pluie" est un récit généreux, poignant, sensible et profond.
Il décrit avec poésie la relation étroite et unique qui peut nous unir à un animal. Certains passages m'ont fait venir les larmes aux yeux.
C'est un roman profondément humain et lumineux, un baume pour le coeur en ces moments d'une tristesse infinie où les hommes s'entredéchirent et s'entretuent.

« … je n'avais pas tout à fait fini de t'aimer. »
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Voici une magnifique histoire d'amour entre deux beaux spécimens du monde animal, un chien et un humain. Ubac, pour le côté nature du canidé et le goût prononcé pour la montagne de son maître, Pinpin, l'humain ainsi surnommé par ses potes. Il ne faut s'attendre à rien d'extraordinaire si ce n'est la vie en duo parsemée de profondes réflexions sur leur périple amoureux, auquel se grefferont d'autres liens, humains ou chiens. Il faut juste se laisser aller à la douce tension de bonheur que les amoureux des bêtes ne manqueront pas de ressentir, tout comme l'autre tension, de malheur inéluctable celle-là, si injuste et cruelle mais pourtant naturelle, due à l'espérance de vie d'une espèce dérisoire par rapport à l'autre.
J'ai beaucoup aimé, j'ai adoré par moments la prose un brin rebelle et malicieuse de son auteur, une prose pas si facile que ça, alambiquée parfois. J'ai eu du mal à m'y plonger au début, souvent à m'y reprendre dans des phrases complexes et des mots peu courants, quand ça a commencé à se délier vers la moitié. L'habitude sans doute, ou le relâchement du style.
Les animaux de compagnie reprennent de la place dans notre société, peut-être la place que nos vies urbanisées ont laissée en s'éloignant du monde sauvage. le monde de l'édition quant à lui s'en est emparé, et ce livre mérite largement son succès. Même si à titre personnel je place bien au-dessus celui d'Audrey Joucla de même nature mais passé inaperçu, « Montaigne, Kant et mon chien », empreint de références philosophiques pas forcément moins digestes que certains passages de celui-ci.

« La seule scission du temps dont j'étais déjà conscient est qu'il y avait eu avant Ubac et désormais Ubac ; l'amour, ça coupe la vie en deux. »
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Son odeur après la pluie” est un merveilleux hommage ainsi qu'une très belle déclaration d'amour à celui qui fût, durant treize ans, le compagnon de vie de Cédric Sapin-Dufour. Bouvier bernois de son état, Ubac, dont le nom à lui seul fait écho aux montagnes, est un véritable hymne à la vie, dans ce qu'elle a de plus beau à nous offrir: une beauté naturelle, sans artifices, des joies simples et authentiques, des émerveillements oubliés, comme un retour en enfance et un regard tout neuf sur le monde. Aux côtés de son compagnon canin, l'auteur, déjà féru de nature et de grands espaces, va apprendre à changer son regard sur ce qui l'entoure.

A travers ce récit, Cédric Sapin-Dufour nous partage ses pensées, ses réflexions sur notre rapport aux autres et à notre environnement. Ses raisonnements sont censés, intéressants, parfois un peu trop moralisateurs venant de quelqu'un qui méprise les gens qui jugent sans savoir, sans comprendre… Il nous fait part d'une véritable philosophie de vie qui m'a parlée et au coeur de laquelle se trouve, rappelé sans cesse, l'amour que l'on peut porter à un animal. Un amour pur, libre de toute attente et qui ne vaut que parce qu'il est offert généreusement, sans contrepartie ni arrière pensée. Un amour aussi incommensurable qu'inexplicable, que seuls les amoureux des bêtes peuvent comprendre. Car, et c'est ce qui fait que ce livre ne s'adresse pas à tout le monde je pense, il faut avoir déjà connu ce lien pour pouvoir être touché par ce récit à la fois intime et universel…

Autre point qui peut en décourager quelques-uns: la plume de Cédric Sapin-Dufour... L'auteur, professeur d'EPS, est un érudit et nous le fait savoir! J'ai trouvé son style déstabilisant au début. Des phrases elliptiques qu'il faut reconstituer, un vocabulaire fourni et travaillé qui nécessite d'avoir un bon vieux dico à côté (bon ok, plus personne n'a de dico aujourd'hui, merci les smartphones! ;p)... Pour un texte qui ne cesse de parler de la simplicité de l'amour et de la beauté du lien qui unit l'homme à la bête, on ne peut pas dire que le style soit simple, lui! Alors oui, la plume est très belle, très travaillée, très poétique et se prête à merveille au jeu de l'hymne à la vie, à l'amitié et à la mort, néanmoins le style de l'auteur m'a paru parfois un peu trop alambiqué, pompeux, me laissant un peu à côté pour me perdre dans mes pensées et mes souvenirs… Et en même temps, il y a une telle justesse dans la description de la vie aux côtés de son animal, que l'on ne peut qu'être ému, voire bouleversé par l'intensité de certains passages!

Un roman à la fois beau et fort qui, s'il ne s'adresse pas à tout le monde, saura néanmoins trouver son public!
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C'est un très joli roman que nous propose ici Cédric Sapin-Defour, une grande histoire d'amour entre lui et son chien Ubac.

Tous ceux ayant vécu avec des chiens se reconnaîtront sans doute dans cette histoire, celle d'un homme à l'amour excessif et de son chien.

C'est beau, très poétique, le style est très travaillé au risque de l'être parfois un peu trop, et on se laisse très facilement emporté par cette grande balade dans la nature en compagnie de l'homme et de l'animal.

Ce livre qui avait à priori était tiré à seulement quelques petits milliers d'exemplaires a connu l'été 2023, peu après sa sortie, un succès fulgurant malgré l'absence de publicité, et a dû être réédité à plusieurs reprises, l'amour que l'on porte à nos bêtes expliquant certainement cela...
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Voici un roman dont on parle beaucoup. Les lecteurs l'encensent, la presse est dithyrambique. le roman qu'il faut avoir lu en 2023 ?
Un homme et son chien.
C'est le sujet de ce livre qui reçoit tant d'éloges ?
Vous plaisantez ?
Ils ont quoi de spéciaux ces deux personnages ?
Rien.
Rien ?
Non, rien.
Ils sont un homme et un chien.
Et dès le premier jour de leur rencontre, dès le premier instant où ils se sont choisis, ils ont su.
Su qu'ils étaient faits pour faire un bout de chemin ensemble.
Cédric Sapin-Defour, nous raconte cette histoire d'amour entre l'homme et l'animal.
Ces moments qu'ils vont partager.
Les joies, les angoisses, les peines.
La nature qu'ils vont découvrir côte à côte.
Les gens qu'ils vont croiser et aimer, et qui vont, eux aussi, succomber au charme du bouvier bernois.
Mais, Son odeur après la pluie, ce n'est pas que ça.
C'est surtout, et avant tout, une belle écriture.
Personne ne raconte ce genre d'histoire comme le fait cet auteur.
Personne ne prend le temps de faire de belles phrases pour raconter la banalité des jours qui passent.
Personne ne se regarde dans le miroir comme Sapin-Defour, qui ne met en avant aucun de ses personnages.
Bien sûr, il faut un narrateur. Il aurait pu donner de la voix au cabot, nous inviter dans sa tête, mais d'autres l'ont fait, on a déjà lu ça.
Non, lui, il reste classique. C'est le maître qui parle.
Enfin, quand je dis ça... ce n'est pas en maître qu'il parle, pas en propriétaire, non, c'est plutôt en ami.
Un ami qui parle d'un ami.
Sans en faire des tonnes. Allant à l'essentiel. Livrant quelques anecdotes. Provoquant quelques sourires, quelques inquiétudes et... des larmes, bien sûr. Parce qu'une vie commune est faite de tout ça.
Et qu'un jour, on le sait bien, surtout avec nos compagnons à la vie éphémère, tout s'arrête.
Son odeur après la pluie, c'est un album photo qu'on feuillette, avec toutes les émotions que ça provoque.
Laissez-vous tenter.
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🐕 Oh my god cette couverture et ce titre ! 😱
Forcément quand on aime les animaux, difficile de résister !
Mais je vous préviens ce chien nous fait sortir de notre zone de confort ! L'écriture est exigeante, j'avoue que ce vocabulaire "élégant" m'a quelque peu déconcertée au départ mais au final c'est ce qui fait la force de ce roman car aimer son chien c'est une chose mais décrire cet attachement sans tomber dans la niaiserie c'en est une autre ! Essayez et vous verrez !
D'ailleurs je ne qualifierais pas ce livre de roman, c'est une véritable ode !
Une vraie déclaration d'amour que le narrateur fait à son chien Ubac, un bouvier bernois.
Ubac, prénom en référence à la Montagne, chère au coeur de son maître qui nous raconte la naissance de cet amour mystérieux, la place de plus en plus grande qu'Ubac prend dans sa vie au fur et à mesure qu'il grandit, ses bêtises, son odeur, le bruit de ses griffes sur le plancher, son quotidien avec lui, ce temps qui passe bien trop vite et qui le rapproche irrémédiablement de la fin ...
Si les touches d'humour nous font souvent sourire, les larmes bien évidemment ne sont jamais loin et sont difficiles à retenir dans la dernière partie... 😪

🐕 Son odeur après la pluie je m'en souviens encore même si "elle" n'est plus là depuis 15 ans ... 😪
Elle s'appelait Panthère, c'était une labrador noire qui a très vite eu le surnom de Poupoune puis Pounette 😀
Maintenant vous savez pourquoi j'ai choisi ce pseudo cucul 🤭 cucul pour vous mais qui fait sens pour moi 🥰
Vous voyez, je vous l'avais dit, difficile de parler de son chien sans faire dans la niaiserie ! 🤭
En tous cas son odeur après la pluie a peut-être disparu mais je ne l'oublierai jamais tout comme "elle" ma "pounette" ! 🥰🐕
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Bien ce n'est pas une lecture à mettre entre toutes les mains.
A nous amis des animaux ce livre vous a t'il autant que moi ému ???

Je me suis même dit que j'étais en train de me faire du mal a le lit tant j'avais du chagrin.

Mais après coup je suis contente de l'avoir lu et d'avoir partagé avec cet auteur toutes la palette des émotions.
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Un livre témoignage de la relation exceptionnelle vécue entre l'auteur et son chien, un attachement puissant qui augmente la qualité de sa vie, lui ouvre d'autres dimensions, lui apporte de grands bonheurs et aussi le chagrin du deuil car le chien ne vit pas longtemps et pas sans maladies.
Beaucoup de personnes pourront se reconnaître dans cette histoire d'amour qui est une des plus universelles, bien que souvent pudiquement tue ou minorée.
Enfant, j'ai connu grâce à une chienne le sentiment de compter énormément pour cet animal qui ne manquait pas d'attendre mon retour de l'école avec des démonstrations de joie indescriptibles qui duraient, duraient... et rendaient ma solitude supportable.
On ose aujourd'hui parler du pouvoir de transformation et de guérison que le animaux exercent sur nous, sans besoin d'être autistes d'ailleurs !
Le chien excelle à aimer l'homme, c'est son meilleur ami, il est unique et non interchangeable. Comme nous.
Ce livre est courageux, bienvenu pour approfondir sans mièvrerie notre connaissance du lien qui existe entre l'homme et le chien, la nature en partage. L'auteur dispose de forêts et montagnes à l'infini pour les promenades.
L'écriture est originale, poétique, sans concessions, franche, un tantinet précieuse et recherchée.
A lire et faire lire !
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Très beau livre sur l'histoire d'un homme et son chien. Livre sensible, emouvant et en meme temps apportant une reflexion sur le rapport de l'homme à l'animal. L'ecriture de ce livre est très belle. Je recommande ce livre que vous aimiez les chiens ou non car il apporte beaucoup
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