En cette rentrée 2014, plus que jamais l'auteur
Eric Emmanuel Schmitt, stakhanoviste des lettres françaises, continue de publier, à un rythme effréné, quantités de pièces de théâtre, nouvelles, romans à un rythme qui ravit ses-nombreux- admirateurs et irrite ses détracteurs. Et depuis septembre, trois pièces sont affiches des théâtres parisiens (Georges &é Georges ;
Si on recommençait avec
Michel Sardou et le Joueur d'échec d'après Zweig avec
Francis Huster) et surtout en ce qui me concerne (pas sûr que ces pièces soient jouées sur Lyon), deux livres sont sur les présentoirs des libraires depuis le 2 octobre dernier.
Le premier, «
le Poison d'amour » est un court roman qui clôt le diptyque sur la passion amoureuse ouvert avec
L'Élixir d'amour, une nouvelle exploration du sentiment amoureux, sous l'angle du récit iniatique puisque les quatre héroïnes de ce roman sont 4 adolescentes de 17 ans, les meilleures amies du monde, qui vont découvrir la passion amoureuse, pour le meilleur et pour le pire, pour les personnages comme pour le lecteur, aurais je tendance à dire. Car
le Poison d'amour est un roman où l'on retrouve à mes yeux le meilleur (son sens de la formule, sa pertinente approche psychologique) et le moins bon (un dénouement bâclé, une certaine naïveté, une trop grande abstraction sociale) de son auteur.
Lien :
http://www.baz-art.org/archi.. Commenter  J’apprécie         250