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Critique de Arimbo
J'avais bien apprécié Aphorismes sur la Sagesse dans la Vie de Schopenhauer.
Ce livre intitulé "Douleurs du monde", qui rassemble des pages de différents ouvrages du philosophe allemand m'a nettement moins plu. le chapitre douleurs du monde met en avant un pessimisme profond et sans issue. Ceux intitulés métaphysique de l'amour et essai sur les femmes sont irritants, l'auteur ayant une piètre opinion de l'amour homme-femme, ramené à un leurre pour la reproduction de l'espèce, et surtout son opinion sur les femmes est archaïque, méprisante, les rabaissant à une catégorie inférieure de l'humanité. Une opinion qui pour moi fait écho à ce qu'une certaine minorité de notre population française pense, pratique, et voudrait promouvoir, et qui est clairement une abjection.
A l'inverse, les chapitres sur l'art, la religion, la morale sont passionnants. L'importance de la pitié, nous dirions maintenant l'empathie, pour compenser l'égoïsme et la méchanceté humaine, et faciliter le fonctionnement des sociétés humaines est une notion tout à fait pertinente, à méditer, enseigner peut-être, quand on voit par la violence et la haine croissantes que nous voyons se déverser sur notre pays.
En conclusion, un avis plutôt mitigé sur cet ouvrage.
Ce livre intitulé "Douleurs du monde", qui rassemble des pages de différents ouvrages du philosophe allemand m'a nettement moins plu. le chapitre douleurs du monde met en avant un pessimisme profond et sans issue. Ceux intitulés métaphysique de l'amour et essai sur les femmes sont irritants, l'auteur ayant une piètre opinion de l'amour homme-femme, ramené à un leurre pour la reproduction de l'espèce, et surtout son opinion sur les femmes est archaïque, méprisante, les rabaissant à une catégorie inférieure de l'humanité. Une opinion qui pour moi fait écho à ce qu'une certaine minorité de notre population française pense, pratique, et voudrait promouvoir, et qui est clairement une abjection.
A l'inverse, les chapitres sur l'art, la religion, la morale sont passionnants. L'importance de la pitié, nous dirions maintenant l'empathie, pour compenser l'égoïsme et la méchanceté humaine, et faciliter le fonctionnement des sociétés humaines est une notion tout à fait pertinente, à méditer, enseigner peut-être, quand on voit par la violence et la haine croissantes que nous voyons se déverser sur notre pays.
En conclusion, un avis plutôt mitigé sur cet ouvrage.
