>
Critique de Nouchkettelitenchaussettes
Ce livre n'est pas à picorer avec un appétit d'oiseau, sinon le commandant Bombardier pourrait vous voler dans les plumes.
Une écriture fluide et drôle pour un roman policier plein de légèreté. J'ai beaucoup aimé que Catherine Secq utilise les expressions en rapport avec les volatiles (et d'ailleurs m'en rappelle quelques-unes).
Je commence ici par le septième tome des aventures du Commissaire Bombardier mais je n'ai pas du tout été perdue. L'auteure apporte en note de bas de page les informations nécessaires mais j'avoue être curieuse de connaître les premiers tomes.
Ici nous avons une équipe de bras cassés (il faut appeler un chat, un chat) et notamment Gégé pas doué pour deux sous qui tire des conclusions très (trop) rapidement sur la base de pseudo preuves… On tente, on expérimente, au détriment de la justice. le but est d'aller vite (mais pas forcément de découvrir la vérité.
Mais l'affaire prend une toute autre tournure quand quelqu'un meurt, et ce quelqu'un ne semble pas être mort sans une aide appuyée… Les affaires sont-elles liées? Qui en veut aux habitants du quartier Saint-Marceau? C'est là toute l'enquête que vont devoir mener Josiane et son beau prince charmant (qui aimerait boucler l'affaire vite, pour profiter de sa belle).
Dans la belle ville d'Orléans, la vérité doit être découverte, et même si c'est dans un chaos totale, la vérité sortira, tôt ou tard.
J'ai pris énormément de plaisir à lire un policier mais plein d'humour. Pour une fois, ce n'est pas l'angoisse qui me tenait mais l'histoire n'en était pas moins addictive. Entre des personnages attachants et parfois caricaturaux (j'adore), l'enquête avance sans que l'on puisse anticiper le(s) coupable(s). Elle avance, elle avance… parfois pas dans le bon sens, mais ça tâtonne….
Mais sous cette légèreté apparente, des thèmes forts sont abordés et j'ai été extrêmement touchée par son adjoint, Paul et son histoire personnelle.
Une bien jolie découverte.
Une écriture fluide et drôle pour un roman policier plein de légèreté. J'ai beaucoup aimé que Catherine Secq utilise les expressions en rapport avec les volatiles (et d'ailleurs m'en rappelle quelques-unes).
Je commence ici par le septième tome des aventures du Commissaire Bombardier mais je n'ai pas du tout été perdue. L'auteure apporte en note de bas de page les informations nécessaires mais j'avoue être curieuse de connaître les premiers tomes.
Ici nous avons une équipe de bras cassés (il faut appeler un chat, un chat) et notamment Gégé pas doué pour deux sous qui tire des conclusions très (trop) rapidement sur la base de pseudo preuves… On tente, on expérimente, au détriment de la justice. le but est d'aller vite (mais pas forcément de découvrir la vérité.
Mais l'affaire prend une toute autre tournure quand quelqu'un meurt, et ce quelqu'un ne semble pas être mort sans une aide appuyée… Les affaires sont-elles liées? Qui en veut aux habitants du quartier Saint-Marceau? C'est là toute l'enquête que vont devoir mener Josiane et son beau prince charmant (qui aimerait boucler l'affaire vite, pour profiter de sa belle).
Dans la belle ville d'Orléans, la vérité doit être découverte, et même si c'est dans un chaos totale, la vérité sortira, tôt ou tard.
J'ai pris énormément de plaisir à lire un policier mais plein d'humour. Pour une fois, ce n'est pas l'angoisse qui me tenait mais l'histoire n'en était pas moins addictive. Entre des personnages attachants et parfois caricaturaux (j'adore), l'enquête avance sans que l'on puisse anticiper le(s) coupable(s). Elle avance, elle avance… parfois pas dans le bon sens, mais ça tâtonne….
Mais sous cette légèreté apparente, des thèmes forts sont abordés et j'ai été extrêmement touchée par son adjoint, Paul et son histoire personnelle.
Une bien jolie découverte.
