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Critique de Roberte53
Ce roman policier est tout sauf noir comme un corbeau… Se sentant pousser des ailes, Catherine Secq a sûrement beaucoup gloussé en affûtant sa plus belle plume pour nous faire partager une nouvelle enquête de la sémillante commissaire Josiane Bombardier.
Toujours teinté d'humour, le récit est plaisant, enrichi d'expressions populaires très imagées faisant référence à de nombreux volatiles, de bon ou de mauvais augure. Au talent de l'écriture, la romancière rajoute celui du dessin, à la faveur d'esquisses habilement croquées sous un joli coup de crayon.
Le lecteur ne baillera pas aux corneilles en lisant cette nouvelle intrigue, judicieusement menée et aux multiples rebondissements. Alors que certains protagonistes se défendent bec et ongles en poussant des cris d'orfraie, d'autres passent du coq à l'âne en devenant les dindons de la farce…
Il faudra faire le pied de grue jusqu'à l'épilogue pour que la poule retrouve enfin ses poussins ! Un grand merci Catherine pour cet agréable moment de détente passé à vous lire et à bientôt pour le 8e opus, puisque, de toute évidence, il y aura une suite...
Toujours teinté d'humour, le récit est plaisant, enrichi d'expressions populaires très imagées faisant référence à de nombreux volatiles, de bon ou de mauvais augure. Au talent de l'écriture, la romancière rajoute celui du dessin, à la faveur d'esquisses habilement croquées sous un joli coup de crayon.
Le lecteur ne baillera pas aux corneilles en lisant cette nouvelle intrigue, judicieusement menée et aux multiples rebondissements. Alors que certains protagonistes se défendent bec et ongles en poussant des cris d'orfraie, d'autres passent du coq à l'âne en devenant les dindons de la farce…
Il faudra faire le pied de grue jusqu'à l'épilogue pour que la poule retrouve enfin ses poussins ! Un grand merci Catherine pour cet agréable moment de détente passé à vous lire et à bientôt pour le 8e opus, puisque, de toute évidence, il y aura une suite...
