>
Critique de jlalonde97
Aliss : un livre hors du commun
Ce récit de Patrick Senécal est basé sur le conte d'Alice au pays des merveilles, un roman de Lewis Carroll parru en 1865 et porté à l'écran pour la première fois en 1903 sous forme de long métrage. Cette histoire était pour un jeune publique. Senécal, lui, l'a reprise de façon peu traditionnel mais combien original.
Cette adaptation raconte l'histoire d'une jeune fille de 18 ans qui quitte Brossard à la recherche de nouvelles aventures. Elle ira donc à Montréal pour essayer de vivre selon ses propres moyens. Ce qui l'attend par conte sort de l'ordinaire. Elle prit le métro de Montréal afin de se rendre à un endroit où elle pourrait loger mais, dans le métro elle fît la rencontre d'un homme quelque peu louche qu'elle décida de suivre. Ce geste l'emportera dans une aventure hors du commun qui changera à jamais sa façon de percevoir les choses. Elle rencontrera différent personnage aussi fou les un que les autres, tels que Chess, Chair et Bone, Veru, etc. à vous de découvrir. Tout au long de l'histoire, Aliss cherche à être la surfemme, qui est similaire au surhomme, une théorie de Friedrich Nietzsche.
Ce livre est selon moi une oeuvre littéraire formidable. Malgré certains passages osés et violent qui pourrait choquer ou contrarier certains lecteurs sensibles. Senécal réussi très bien à faire couler son histoire d'une façon que quiconque ne peut reproduire et de façon à ce que tout le monde puisse comprendre avec facilité, ce qui rend la lecture au-delà de l'agréabilité. Ce que j'aime personnellement d'un chef-oeuvre comme celui-ci, c'est le fait que l'action ne commence pas trop tard. Dès le début nous somme intrigué par la suite de l'histoire d'Aliss, nous n'avons jamais le goût d'arrêter de lire cette ouvrage. Il nous emporte dans un autre monde envoutant qui nous sort de notre logique habituelle.
Ce récit est un chef-d'oeuvre littéraire très divertissant et intéressant dans son propre style. Il est à lire et arrêter de le faire est tout un défi. Âmes sensible, prenez garde.
Cordialement, Julien
Ce récit de Patrick Senécal est basé sur le conte d'Alice au pays des merveilles, un roman de Lewis Carroll parru en 1865 et porté à l'écran pour la première fois en 1903 sous forme de long métrage. Cette histoire était pour un jeune publique. Senécal, lui, l'a reprise de façon peu traditionnel mais combien original.
Cette adaptation raconte l'histoire d'une jeune fille de 18 ans qui quitte Brossard à la recherche de nouvelles aventures. Elle ira donc à Montréal pour essayer de vivre selon ses propres moyens. Ce qui l'attend par conte sort de l'ordinaire. Elle prit le métro de Montréal afin de se rendre à un endroit où elle pourrait loger mais, dans le métro elle fît la rencontre d'un homme quelque peu louche qu'elle décida de suivre. Ce geste l'emportera dans une aventure hors du commun qui changera à jamais sa façon de percevoir les choses. Elle rencontrera différent personnage aussi fou les un que les autres, tels que Chess, Chair et Bone, Veru, etc. à vous de découvrir. Tout au long de l'histoire, Aliss cherche à être la surfemme, qui est similaire au surhomme, une théorie de Friedrich Nietzsche.
Ce livre est selon moi une oeuvre littéraire formidable. Malgré certains passages osés et violent qui pourrait choquer ou contrarier certains lecteurs sensibles. Senécal réussi très bien à faire couler son histoire d'une façon que quiconque ne peut reproduire et de façon à ce que tout le monde puisse comprendre avec facilité, ce qui rend la lecture au-delà de l'agréabilité. Ce que j'aime personnellement d'un chef-oeuvre comme celui-ci, c'est le fait que l'action ne commence pas trop tard. Dès le début nous somme intrigué par la suite de l'histoire d'Aliss, nous n'avons jamais le goût d'arrêter de lire cette ouvrage. Il nous emporte dans un autre monde envoutant qui nous sort de notre logique habituelle.
Ce récit est un chef-d'oeuvre littéraire très divertissant et intéressant dans son propre style. Il est à lire et arrêter de le faire est tout un défi. Âmes sensible, prenez garde.
Cordialement, Julien
