Combien palpe
Augustin Trapenard pour dire/écrire que ce roman se situe « entre 'Le Silences des Agneaux' et 'Mindhunter' » ?
= pub sur la 1e de couverture
Soit je me suis endurcie en trente ans, soit 'Mindhunter' est vraiment faiblard (je ne connais pas).
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Deux histoires, au début : une petite fille de onze ans rescapée d'un incendie, et un serial killer qui souhaite rencontrer une psycho-criminologue. Bien sûr, cela va converger.
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Bien que bizarrement traduit (négation marquée ou pas dans une même phrase de dialogue, par exemple), ce thriller est prenant.
J'ai particulièrement apprécié les échanges entre Seon-gyeong et Byeong-do, même si la carapace se fissure un peu trop facilement & rapidement. Comme
Marc Dugain dans '
Avenue des Géants', l'auteur arrive à rendre un/des 'monstre(s)' touchant, en évoquant les traumatismes de l'enfance.
Mais
Seo Mi-Ae ne se soucie aucunement de la crédibilité de son intrigue.
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J'apprends qu'il s'agit du premier volet du trilogie. Lorsque je lis en diagonale le résumé du deuxième opus, je suis encore plus perplexe sur la fin de 'Bonne nuit' et sur le manque de jugeote de ...
Seon-gyeong, pourtant psy, qui va donc continuer à vivre avec deux assasins, en connaissance de cause. 🤔
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