Un flot de récompenses pour cette bd : Prix
René Goscinny en 1997, Alph'art à Angoulême en 1998. de très bonnes critiques également...
Pourtant, cette bd ne m'a pas paru si exceptionnelle que cela ! Je peux même dire que les auteurs
Sfar et Guibert ont fait beaucoup mieux depuis. Les olives noires m'ont beaucoup plus attiré pour leur portée philosophique.
Je n'ai tout simplement pas cru à cette histoire d'amour entre un Pharaon momifié et la fille d'un éminent archéologue dans le Londres de l'ère Victoria. Que Dieu sauve la Reine !
Pourtant, la lecture de
la fille du Professeur a été agréable car ponctuée de dialogues avec une légère pointe d'humour so british. Et puis, beaucoup d'originalité, ce qui n'est pas pour déplaire !
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