"
Sémi" n'échappe pas à la règle des romans d'
Aki Shimazaki: en quelques heures, on est transporté dans un coin du Japon et on suit un protagoniste, ici Tetsuo Nire (oui oui le père d'Anzu de "
Suzuran"), dans un petit bout de vie. Souvent pudiques, toujours délicatement racontées, ces tranches sont des petites pauses-collations dont je me délecte principalement l'hiver, quand le temps est à l'introspection et au calme.
Ce roman-ci en particulier explore les notions d'hérédité, de paternité, de génétique, de lien en somme, thème qui semble une fois de plus être au coeur de cette nouvelle série.
Je ne suis pas sûre que je garderai un grand souvenir de celui-ci car les enjeux y sont relativement limités mais les piqûres de rappel concernant Alzheimer dis
séminées dans le livre me suivront un temps !
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