Pour le deuxième tome,
Aki Shimazaki nous ramène à la seconde guerre mondiale, avec des japonais qui doivent se reconstruire.
On retourne donc dans le passé de l'un des personnages du premier tome, Toda.
On apprend alors les horreurs que les japonais ont vécu en Russie à la fin de cette période. Horreurs qui sembleraient, selon l'auteure, avoir disparu des livres scolaires.
Mais encore une fois, tout n'est que pudeur et si c'est parfois compliqué de la comprendre cette pudeur, les personnages ont le mérite de susciter un grand respect, en tout cas le mien.
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